La justice des Hommes avant celle des dieux
Faut-il dans une société qui nous impose chaque jour davantage l’influence des religions se poser la question sur le poids de la justice de dieu face à celle des hommes?…
Faut-il dans une société qui nous impose chaque jour davantage l’influence des religions se poser la question sur le poids de la justice de dieu face à celle des hommes?…
Lentement la pression autour d’une application de la loi par un tribunal jugeant une affaire de détournement de fonds publics baisse. Nonobstant les faits une habile médiatisation a été développé…
Dernier week-end de sérénité béarnaise pour le premier des ministres faisant ce que bon leur semble. En effet lundi lorsque le tribunal correctionnel de Paris énoncera les peines prononcées à…
L’autoroute A69, entre Toulouse et Castres, a été « déclaré d’utilité publique en 2018 et bénéficie d’un large soutien local de la part des élus, des habitants et des acteurs économiques », a déclaré…
En une seule journée les atteintes prouvées à l’utilisation des travailleurs immigrés en toute illégalité sont englouties par des informations sans aucun intérêt ou relevant de la désinformation larvée. Dommage que ces faits tellement répandus dans la vie économique réelle ne soient pas l’objet de plateaux alimentaires pour les pourfendeurs des migrants !
Alors je comprends le désespoir du Maire de Saint-Brévin. Je le vis. Je le partage. Je ne me marre même pas des énièmes engagements, des sempiternelles déclarations de compassion, de la litanie des soutiens. Encore une fois on s’offusque. Encore une fois on s’indigne. Encore une fois on prépare des textes qui vont s’empiler sur des textes jamais appliqués.
Dimanche matin en sortant de la salle de vote créonnaise je salue un couple m’ayant accompagné dans la vie locale depuis une quarantaine d’années. Rien de bien extraordinaire même si la rencontre physique n’est pas habituelle puisque les chemins se sont éloignés depuis mon retrait de la vie municipale. L’accueil surprenant me déstabilise et j’encaisse comme un boxeur ayant baissé les bras un « tiens voilà le traître ! » .
Il fut une époque que les moins de soixante-dix ans ne peuvent pas connaître où, chaque mercredi matin, l'attraction du marché se situait au premier étage de la mairie de Créon. Après ou avant aller faire ses courses il fallait faire un petit tour dans la grande salle devenue celle du conseil municipal après rénovation dans les années soixante-dix pour assister aux délibérations du Juge de paix.
Le conseil d’État, la plus haute juridiction française, a jeté un vrai pavé dans la mare de la pollution atmosphérique en attendant qu'il le fasse pour d'autres domaines. Dans une première décision rendue en juillet 2017, il avait mis en garde le gouvernement sur ce sujet. Il avait demandé de mettre en œuvre des plans permettant de ramener – dans 13 zones du territoire et dans le délai le plus court possible – les concentrations de dioxyde d’azote (NO2) et de particules fines (PM10) en dessous des valeurs limites (40 µg/m³ en moyenne annuelle) fixées par la directive européenne de 2008.