La difficulté de garder les yeux ouverts
Ce soir, je m’endors devant ma page blanche. Je n’arrive pas à entrer dans le coffre-fort des mes idées. Je peine à admettre qu’il me faut me coltiner la création…
Ce soir, je m’endors devant ma page blanche. Je n’arrive pas à entrer dans le coffre-fort des mes idées. Je peine à admettre qu’il me faut me coltiner la création…
Le monde sportif en France qui avait charmé le pays durant les Jeux Olympiques file du mauvais coton et notamment les deux principaux d’entre eux. Récemment j’écrivais que le rugby…
Nous sommes entrés dans un société des donneurs de leçons. Le verbe haut, le mépris en bandoulière et les idées courtes ces personnes qui se considèrent comme possédant la science…
La déliquescence du système républicain, en cours en France et plus largement celle des démocraties représentatives de par le monde se poursuit jour après jour. Inexorablement les fondements des valeurs…
La mascarade du club des Girondins de Bordeaux se poursuit et il n’y a pas grand monde pour faire autrement que de jouer au plombier mettant ses dix doigts pour boucher les trous dans la « canalisation » financière percée depuis plusieurs années. Dans n’importe quelle autre activité économique il serait impossible de rester en cet état sans être immédiatement placé en liquidation judiciaire.
« Il y a toute une écologie bourgeoise qui fait basculer des parties entières des classes populaires vers l’extrême droite, parce qu’elles se sentent victimes d’une forme de violence symbolique de l’écologie officielle. » Clément Sénéchal
Hasard des dates, alors que Bruno la Science parlait de « réindustrialisation », de « baisse des chiffres sans cesse tripatouillés du chômage » de « soutien aux entreprises » et le mythe d’une croissance en hausse, le secours Populaire présentait son rapport annuel sur l’évolution de la pauvreté. C’est dommage, le ministre sortant que a déclaré à ses fans enthousiastes « je vous aime mais je pars » n’avait pas les chiffres donc il n’a pas pu en parler.
Le personnel politique installé à la tête des partis constitue une « ethnie » particulière dont les coutumes et les attitudes variables diffèrent totalement de celles de ce que certains appellent encore le peuple. Il passe son temps à décevoir, à trahir, à renoncer au nom du principe éternel voulant que ses intérêts individuels constituent selon lui, l’intérêt collectif.
Dans mes cinquante années d’engagement j’ai pu constater que la faiblesse des arguments est souvent compensée par les attaques ad-hominem. Tant qu’elle reste en cercle fermée ce n’est pas grave mais quand elle déborde dans la sphère publique elles deviennent insupportables.