« Promets moi de toujours lutter contre la peste »
Un serment qu marque ma vie et que je erespecterai à la lettre. Sans tapage et sans ostentation. Uniquement par fidélité.
Un serment qu marque ma vie et que je erespecterai à la lettre. Sans tapage et sans ostentation. Uniquement par fidélité.
Je n’ai pas vu le temps passer. C’est le plus grave. J’ai conscience qu’il n’en reste plus beaucoup. Aurais-je encore longtemps la force de pédaler pour pouvoir me laisser aller en Roue Libre ? Peut-être que les chroniques d’après le 8 juillet 2024 auront une importance plus grande. Et ce quel qu’en soit le résultat. Il y aura une loupiote dans l’obscurantisme qui menace.
Cette préparation méticuleuse occupait les premières semaines du mois d »Avril, quand les soirées restent encore incertaines car, sur le calendrier de ce qui était encore les Postes Télégraphe et Téléphone, mon père avait repéré les jours où la lune permettait de… planter dignement les pommes de terre !
Pâques reste pour moi la résurrection des souvenirs d’enfance. Tous plus heureux les uns que les autres et tous liés au partage familiaux. En Italie ce rendez-vous religieux revêt une importance particulière. Il ne saurait être question de ne pas se rassembler aussi largement que possible pour effacer dans les esprits la fin du carême prononcé le jeudi avant ces retrouvailles.
Ce lien nécessaire de LA MORALE ET DE LA POLITIQUE est demeuré présent comme un fil conducteur de mes engagements . Au delà de l’aspiration au silence dans ce jour de tristesse infinie,me revient le SOUVENIR DE MA RENCONTRE avec Robert Badinter : elle m’a profondément marqué.
Mario a décidé de ne pas débuter l’année nouvelle en quittant ce monde à l’aube du premier jour. Il emporte avec lui un pan entier de ma vie personnelle. Il…
Lorsqu’il me faut reprendre confiance et redécouvrir le vrai chemin de l’engagement qui aura été le mien, je relis avec un immense plaisir le discours de politique générale que Michel Rocard a prononcé le 28 juin 1988 devant une Assemblée Nationale où il n’avait pas de majorité. Chaque mot résonne fortement dans le contexte actuel de notre pays
Durant toute cette semaine, les anecdotes ou les faits évoqués, vous ont probablement donné l’impression qu’il appartenait à la grande famille de ceux qui disent Tintin aux convenances ou qui « Routetabille » de stylo pour ciseler d’accortes formules. Sancho Grené repousse aujourd’hui ses maux croisés grâce aux mots que lui inspire une épopée qu’aucun journaliste de clavier et de transfert numérisé ne connaîtra.
Après bien des péripéties (voir les chroniques précédentes) le duo d’envoyés spéciaux de Sud-Ouest composé de « Sancho » Grené et Don Nogués se retrouva dans la chaleur sévillane en ce 8 juillet 1982 pour un France-Allemagne nimbé qu’on le veuille ou non de revanche historique extra sportive. Dans la tribune de presse bondée il ne saurait imaginer un instant qu’il va assister au plus extraordinaire (si ce n’est le plus exceptionnel) match d’une Coupe du Monde par son intensité dramatique.