A chacun son intérêt personnel dans la censure
S’il est un mot qui ne convient pas en République, c’est bien celui de « censure ». On oublie trop vite qu’il est contraire au triptyque inscrit sur le frontispice des bâtiments…
S’il est un mot qui ne convient pas en République, c’est bien celui de « censure ». On oublie trop vite qu’il est contraire au triptyque inscrit sur le frontispice des bâtiments…
Cette vision d’une unité immédiate et durable sera j’en suis certain soutenue par le Lider Maximo, le François 1° de Corrèze, la Pasionaria verte ou le Roussel sans faucille et sans marteau ainsi que tous les autres qui attendent tapis dans l’ombre. Imaginons un instant que dans la logique de sa proposition de destitution de Zeus, LFI se prépare à la réussite de cette mesure radicale et prépare l’hypothèse d’une élection présidentielle anticipée.
Un séisme se prépare pour la fin de l’année après une longue période de doute sur son importance.
L’ancien Président de l’assemblée nationale, l’ex-député breton Richard Ferrand multiplie les déclarations depuis quelques jours. Une forme de rappel de son existence après la désillusion de sa défaite électorale : ne parle-t-on pas de remaniement ministériel. Comme le veut le simulacre de débat d’idées actuel il a su parfaitement exploiter le « marché » des annonces susceptibles de lui valoir la citation de son nom.
L'élection présidentielle se regarde désormais dans le rétroviseur où se reflète l'Histoire. La cérémonie d'investiture du vainqueur a eu lieu avec le sentiment que tout était conçu pour éviter de provoquer ou de laisser accroire à une victoire éclatante. Logique dans le contexte actuel. Les incertitudes n'ont jamais été aussi grandes et elles planent sur notre quotidien.
Y-a-t-il en France un gâteau plus célèbre dans la cuisine familiale que le quatre-quarts ? Aisé à fabriquer car la recette est simple et mémorisable il laisse cependant peu de place à l'imagination. Le résultat ne déçoit jamais mais n'enchante jamais.
Le débat sur le pouvoir d’achat va s’installer encore une dizaine de jours dans l’actualité sociale française. En fait cette notion n’a aucun sens tant il recouvre des réalités différentes. Il faut parler de « pouvoir de survivre » pour plusieurs millions de personnes, de « pouvoir de vivre » au mieux pour une large majorité et du « pouvoir de profiter » pour une minorité.
En définitive, les sondeurs s'étaient trompés car ils avaient sous-évalué les scores des candidats installés sur le podium de l'élection présidentielle. La seule qui pourrait leur reprocher un optimisme malvenu…
A quelques heures du premier tour de l’élection présidentielle, en dehors du bruit de fond entretenu par les télés qui ressassent des sondages et tentent de mobiliser les promeneurs du suffrage universel avec des plateaux alimentaires sans grand intérêt, il n'y a que des bruits de fond lointain. Le scrutin ne mobilise guère les électrices et les électeurs qui ont réduit leur choix en un "pour ou contre" le Président sortant.