Le rugby profite de la faiblesse du monde du foot
Le week-end dernier, le hasard des calendriers sportifs a permis de vérifier le niveau des rapports entre les deux grands sports français : le rugby et le football ! La télévision a…
Le week-end dernier, le hasard des calendriers sportifs a permis de vérifier le niveau des rapports entre les deux grands sports français : le rugby et le football ! La télévision a…
Ces 6, 7 et 8 septembre marqueront un virage avec une nouvelle donne médiatique. La télévision va jouer un rôle considérable . Le bilan en fin d’année 2024 risque donc d’être très dur pour le football. Sur le plan financier d’abord et sur l’impact réel en terme d’image l’écart va se creuser.
La puissance de Canal+ dans le monde du rugby devient inquiétante. En effet outre le fait qu’il gère à leur convenance le programme du week-end en raison des 113,6 millions d’euros versés à la Ligue, il dispose d’un poids considérable sur le déroulement des rencontres. Certes la présence de la chaîne n’influe pas sur les résultats, même si l’ordre des retransmissions peut avoir une influence sur la motivation des équipes. Elle joue cependant un rôle parfois décisif dans le résultat avec sa participation à l’arbitrage vidéo ou le retour par les ralentis sur es actions que l’œil humain d’un arbitre ne détecte pas.
Les amateurs de spectacle sportif de haut niveau ont eu en moins d’une semaine l’opportunité de regarder deux clubs français évoluer en demi-finale des clubs champions de leur spécialité. Le…
Une tonitruante clameur monte de l’enceinte du Matmut Atlantique. Elle s’envole quelques instants après la sirène par l’ouverture béante vers un ciel qui a viré au noir profond, comme un immense soupir de soulagement. Le cirque acclame ses glorieux gladiateurs ayant vaincu leurs homologues habitués à vivre leur ville en rose.
Une année marquée par la guerre aux portes de l’Europe et l’effondrement de la théorie flamboyante de la mondialisation s’achève. Dans un tel contexte il est vraiment très ardu de…
La période se referme sur une Coupe du monde d’autos-tampons baptisées rugby sans le moindre incident lié au comportement du public, le foot aggrave sa situation par un week-end détestable. Des matchs de seconde catégorie disputés dans des contextes pour le moins révélateurs de la gravité de la situation générale. Le petit monde du ballon rond français cumule les pires avanies.
La Coupe du monde de rugby s’achève dans un flot de critiques, de rancœurs et de déceptions. La joie communicative des premières rencontres s’est évanouie au fil de semaines cédant la place aux ressentiments ce qui dans le fond est totalement contraire à l’esprit de ce sport. Quelques rares confrontations ont ramené aux fondamentaux avec des duels équilibrés, disputés, joués sans retenue par des équipes qui n’avaient rien à perdre.
Putain que c’est dur de se mettre devant son clavier pour vous confier que mon moral vacille en ce moment. Certes il arrive qu’un grain de sable puisse enrayé les machines les plus sophistiquées mais il n’a aucune chance de troubler l’avancée d’un rouleau compresseur aussi puissant que celui des idées qui empruntent le chemin de l’opinion dominante.