Les feux en cours et les contre-feux nouveaux
Le monde craque de partout et les fissures que l’on pouvait penser suturées se rouvrent dans un jeu ressemblant à celui beaucoup plus théorique de la bataille navale. La guerre…
Le monde craque de partout et les fissures que l’on pouvait penser suturées se rouvrent dans un jeu ressemblant à celui beaucoup plus théorique de la bataille navale. La guerre…
Les événements qui se sont succédés durant toute la semaine écoulée s’enchaînent avec une vitesse prodigieuse et nul ne sait ce qui pourrait les arrêter. Dans les secteurs de la vie politique, de l’économie, de la géopolitique sa décision cause une série d’effondrements dont les effets sont colmatés à la hâte par ses partisans et ses opposants.
Un séisme se prépare pour la fin de l’année après une longue période de doute sur son importance.
Pendant ce temps la France s’enfonce au plan international payant des prises de position « au-dessus de ses moyens ». Nul ne saurait honnêtement prétendre que nous ne plions pas bagages en Afrique de notre propre volonté. Burkina, Mali, Niger : nous nous retirons ce que je ne saurai critiquer mais ça prend des allures de "retraite" car chaque fois le Chef de notre État a voulu rouler des mécaniques du genre « retenez-moi où je vais faire un malheur ! » crispant une situation déjà tendue et fragile avant de reculer.
En tant que « nigauloque » avéré je n'ai jamais été invité sur un autre plateau que celui qui sert à apporter le demi dont on rêve en pleine canicule etq ue l'on déguste à la terrasse. Toute ressemblance avec une situation dramatique actuelle ne serait nien évidemment que pure coïncidence.
Tous deux m'ont beaucoup plus appris. Ils m'ont aidé à me méfier des affirmations faciles, des communiqués grandiloquents, des déclarations de guerres en tous genres, des conflits réputés ethniques ou religieux, des enjeux purement financiers et des gesticulations médiatisées.
Il y a eu dans les mois écoulé l'obsession du «virus », du « masque », du « confinement », du « vaccin » et désormais alors que ces mots là pourraient revenir dans l'actualité ils sont éclipsé par celui de « l'immigration ».
Didi va partir vers la retraite mais la géopolitique lui joue des tours. Le voici, comme bien d'autres Girondins, préoccupés par les conséquences de la crise sanitaire sur leur présence en France.
Cette année un changement profond vient de s'opérer au sein du peloton. La dimension économique cède la place à la montée en puissance de la « géopolitique » avec des équipes portant l'image d'un pays. Des formations internationales servent à la valorisation d'une nation dont l'image est défaillante.