La malédiction du 9 juillet a encore frappé
Ah ! La veille du 9 juillet et ce jour lui-même laissent des souvenirs amers dans les souvenirs des soutiens de plus de 45 ans de l’équipe de France de…
Ah ! La veille du 9 juillet et ce jour lui-même laissent des souvenirs amers dans les souvenirs des soutiens de plus de 45 ans de l’équipe de France de…
Depuis lundi soir une bonne partie de la France se préoccupe justement de celui de Kyllian Mbappé. Les communiqués médicaux sont attendus avec anxiété. Le capitaine de l’équipe des Bleus a rencontré une montagne de muscles qui lui a brisé la cloison nasale. Un avatar qui met le pays en émoi car tout ce que le pays compte comme supporteurs motivés comptait sur lui pour un Euro manquant au palmarès de Deschamps.
Zinédine Zidane est passé hier soir par Bordeaux pour les 100 ans du Parc Lescure. J'ai en mémoire une autres soirée qui décida de toute sa carrière...
Une tonitruante clameur monte de l’enceinte du Matmut Atlantique. Elle s’envole quelques instants après la sirène par l’ouverture béante vers un ciel qui a viré au noir profond, comme un immense soupir de soulagement. Le cirque acclame ses glorieux gladiateurs ayant vaincu leurs homologues habitués à vivre leur ville en rose.
Là on s'ennuie et on est loin des moments attendus du rugby. L'essai de Louis Bielle-Biarrey suivi par le sprint solitaire de Macalou font enfin lever quelques fesses des chaises. En vain.Encore une fois une subtilité de l'arbitrage étouffe un embryon de fête.. Le sifflet reste le roi de la soirée et il s'en donne à cœur joie en fin de rencontre. Il faudra vraiment autre chose qu'un brouillon de seconde zone.
Le premier week-end de la Coupe du Monde de rugby s’est écoulé avec un impressionnant enchaînement de rencontres permettant de jauger cette compétition qui ne fait que débuter. En fait il est aisé de constater que des écarts considérables de niveau se profile au sein de cette compétition se voulant planétaire. Les résultats de quelques matchs laissent augurer des classements de poule reposant sur le système des bonus.
Il existe une forte similitude entre l’équipe de France d’Aimé Jacquet composée de pas si « manchots » que ça en 1998, et celle que propose Fabien Galthié pour débuter face aux Néo-Zélandais. On avait beaucoup loué le mythe « black-blanc-beur » qui avait relancé l’espoir d’une intégration réussie grâce au football. Depuis le ballon a tourné et pas nécessairement dans le bon sens. Le quinze qui entonnera la Marseillaise au Stade de France reflétera la mutation d’un sport allant désormais puiser une part de sa force dans la diversité sociale.
La France prépare le plus grand fiasco sportif de son histoire : les jeux olympiques de 2024. En attendant la méthode Coué reste la plus pratiquée au sein des fédération sportives. Toutes traversent, un an avant l’ouverture, affichent une sérénité uniquement destinée à marquer le désarroi provoqué par des performances annonciatrices d’une campagne olympique au minimum compliquée. Les compétitions, les championnats, les épreuves préparatoires se succèdent et la France est réduit à la disette ou même à la privation totale de médailles.
Cette finale d’une Coupe du monde déclenche un tsunami de superlatifs. Il est vrai que le scénario hitchcockien d’un match hors normes favorise la démesure. D’ailleurs tout aura été hors normes au Qatar et pas forcément dans le bon sens. N’empêche que rien que pour cette ultime étape, la compétition restera dans l’Histoire du football.