La mise au vert bretonne des alpagas !
Le gîte de pierres précieuses car taillées il y a fort longtemps par des hommes robustes mais aux mains agiles, se niche dans un écrin de velours vert tendre. Il…
Le gîte de pierres précieuses car taillées il y a fort longtemps par des hommes robustes mais aux mains agiles, se niche dans un écrin de velours vert tendre. Il…
Dépêchez vous car La Poste privatisée ne va pas vous permettre d’espérer obtenir une distribution rapide. Avez-vous un instant songé à ce que vous écririez sur votre lettre au Père…
Samedi soir mon petit-fils Julien a fêté ses 18 ans... Voici le texte (un peu long j'en conviens) que j'avais écrit dans mon premier blog (L'AUTRE QUOTIDIEN) il y a 18 ans jour pour jour après sa naissance... Je ne change rien !
La pomme a vraiment mauvaise réputation depuis que la bible et Chirac s’en sont emparé faussement et en ont fait le fameux fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal pour l’une et en emblème électoral pour l’autre ! Une absurdité. La bible n’a jamais parlé de pomme, mais simplement de fruit ! Or le fruit en latin se dit « pomum » d’où la confusion. Un raccourci malencontreux de traduction et voilà notre pomme au banc des accusés. Et pour enfoncer le clou, la pomme en latin se dit « malum » d’où probablement ce raisonnement béotien qui qualifie la pomme de fruit du mal.
La cruche n’a jamais été considérée dans les temps anciens comme un objet méprisable ou indigne de figurer sur le devant de la scène de l’habileté humaine. Bien au contraire. Elle est en effet un objet d’art ordinaire qui a été essentiel durant des siècles à la vie. Protégeant l’eau précieuse ou les breuvages les plus sophistiqués ces contenants avaient un rôle primordial.
Brassens aurait eu cent ans. Il fut et reste pour moi un copain de partage, un compagnon de route vers la liberté et un camarade de révolte. Brassens a marqué mon parcours.
Abel dont l’enfance avait été terriblement malheureuse (il avait été placé à onze ans chez un vétérinaire pour s’occuper du cheval) appréciait la vie humble mais tellement riche qu’il avait su se créer. Elle fourmillait d’émerveillements pour les gamins curieux que nous étions. Lui qui avait connu les mines de sel de Silésie en étant fait prisonnier sur le front en 1917 à 20 ans s’était constitué un « confort » reposant sur des rites immuables. En été, par exemple il avait ses repères qui revenaient aux premières chaleurs.
Il faudra attendre encore deux ou trois semaines pour lire les analyses sur la fréquentation touristique estivale. De multiples repères entrent en jeu pour cette évaluation des retombées économiques puisque les évolutions sociales et sociétales deviennent de plus en plus rapides. Il devient impossible de prévoir la manière dont les individus ou les groupes planifient leurs vacances. Le contexte général de la liberté essentielle à la réussite de la période estivale se renforce avec des attitudes et des pratiques de plus en plus « élastiques ».
Lorsque l’on dit à Sadirac que l’on a la terre du village collée aux semelles de ses chaussures, ce n’est pas une métaphore, mais une bien belle réalité. Cette glaise grasse, bleue, riche, dont pas un seul cultivateur ne supporterait la présence, poursuit une interminable gestation dans le sous-sol de cette commune de l’Entre Deux Mers girondin où je suis né.