L’irresponsabilité génère toujours plus d’indifférence
Dans son ultime SOS hier soir pour sa survie politique, le Savoyard de Matignon, a utilisé une mot désuet car oublié du monde politique : responsabilité. Il l’a même répété à…
Dans son ultime SOS hier soir pour sa survie politique, le Savoyard de Matignon, a utilisé une mot désuet car oublié du monde politique : responsabilité. Il l’a même répété à…
Si je créais une publication de ce genre, elle aurait l’ambition de l’appeler celle de « mes quatre mondes ». En effet je pense avoir parcouru des espaces différents dont malheureusement je m’aperçois qu’ils n’intéressent guère les autres. J’espère que l’on ne retiendra pas de ma vie que le périple dans la politique. C’est probablement celui qui a été le plus difficile à traverser car il repose sur des idées reçues, sur des supputations hasardeuses et une mauvaise réputation que Brassens aurait pu chanter.
comme le rappelait un fidèle lecteur de ces chroniques ce mot du demi de mêlée bitterrois qui savait ce dont il parlait, qu’il y a au rugby «il y a les déménageurs de piano... et ceux qui en jouent ».Les uns ne font que préparer le concert des autres qui ne sont pas tous des virtuoses. Les Fidjiens me paraissent les plus aptes à illustrer ce principe.
Je particpaix hier soir à une nouvelle soirée d'éducation populaire consacrée à la vie associative, ma passion et le fondement de mon action publique. La loi de 1901 relative au « contrat d’association » voulue par Waldeck-Rousseau, présentée par le ministre de la Justice Ernest Monis est adoptée par le Sénat le 22 juin 1901, votée par la Chambre des députés le 28 et promulguée le 1er juillet. C’est pour moi l’illustration parfaite des fondements de la République puisqu’elle offre la liberté d’agir, l’égalité concrète dans la gestion et la fraternité des objectifs.
L’offensive gouvernementale va monter en puissance jusqu’aux vacances. Les rumeurs sur un remaniement rend tous les ministres soucieux de lâcher la bride avec une double pensée : exister et préparer son éviction en savonnant la planche à un successeur. L’opinion dominante va avoir une période de franchise qui avait été dissimulée par la période « reforme des retraites »
Pour le néophyte une immersion dans le milieu des courses hippiques relève une fois encore de la découverte d'une France (et même d'un monde) fracturée mais qui a au moins le point commun d'être animée par la même passion. Toute une économie avec à peu près 50 000 personnes au travail direct et indirect autour du cheval de course, recouvre des réalités diamétralement opposées.
L’avantage d’être un ministre craint pour les moyens de rétorsion dont il dispose , c’est que l’on peut contre vents de preuves et marées de démentis, affirmer ce que bon vous semble. Et dans le fond c’est une défense qui fonctionne puisqu’elle conduit à se défausser sur d’autres groupes indéfinis (pas des individus responsables car c’est trop risqué) afin de démontrer que des circonstances défavorables expliquent vos erreurs.
Les séquelles financières de la période de la Covid 19 ne s'effaceront pas de sitôt. Les plans les plus subtils d'effacement de la dette n'ont aucun sens puisque l'on a vu combien tout basculait en quelques jours. Le château de cartes des équilibres mondiaux n'a probablement jamais été aussi fragile.
Depuis les lois de décentralisation de 1983, tous les gouvernements qui se sont succédés, sous l'influence des structures étatiques qui les encadrent, ont cherché à revenir sur les principes d'un pouvoir de gestion délégué aux collectivités territoriales. Sous prétexte de "rationalisation" ou de "simplification" diverses lois ont lentement érodé les responsabilités confiées aux élus locaux.