Une bataille gagnée n’efface pas la perspective d’une retraite
L’âge auquel une personne peut demander à faire valoir ses droits à pension a toujours constitué un élément médiatique essentiel de la vie politique. Il n’y a pas eu une…
L’âge auquel une personne peut demander à faire valoir ses droits à pension a toujours constitué un élément médiatique essentiel de la vie politique. Il n’y a pas eu une…
Le 27 avril 1969, les Français rejettent le référendum sur la régionalisation et la « rénovation » du Sénat. Désavoué, Charles de Gaulle quitte ses fonctions de président de la…
La tactique est évidente. Un fac-similé de ce que Trump a mis en œuvre aux USA : dressé le maximum de « personnes » contre les « institutions » lui barrant le passage. Une analyse de ses entretiens et notamment le dernier qu’il a donné au JDD confirme cette volonté politique que l’on a retrouvé aussi dans des périodes noires de notre histoire commune.
Depuis des décennies, le volume des contraintes imposées par la loi ne cesse d’augmenter. Dans son rapport annuel le Sénat dresse un bilan de l’application concrète des textes parlementaires. Un document édifiant car il casse l’idée généralement très répandue que dès son adoption un texte est exécutable et exécuté. En fait il s’écoule généralement des mois avant que les fameux décrets d’application paraissent au journal officiel.
En une fraction de seconde le Président du Sénat a accru sa notoriété grâce à un "Ferme ta gueule" révélateur de la faiblesse du débat politique
Peut-on craindre un effondrement du système bancaire sous l’effet des endettements faramineux des Etats ? Il est certain que ces derniers sont pour beaucoup sur le fil du rasoir et qu’il n’est pas évident de prévoir une situation assainie pour la fin de l’année. Chaque jour la progression du danger de « crack bancaire » se précise.
Le référendum a de multiples facettes dans notre démocratie réputée représentative. Il appartient à tous les niveaux de la gouvernance républicaine mais se révèle tellement compliqué à mettre en œuvre que dans les faits il n’existe pas ou très peu.
Hier quelles que soient les estimations officielles ou syndicales, démonstration a été faite qu’une vraie mobilisation existait malgré un contexte socio-économique difficile. La tension ne baissera donc pas dans les prochains jours mais la course de vitesse engagée entre le gouvernement et la contestation va apparaître au grand jour.
La logique comptable, la volonté de refuser de chercher d’autres solutions de financement, l’arrière-pensée de rendre la « répartition » ruineuse et invivable conduisent à effacer totalement la dimension humaine de la réforme.