Le discours qui n’a pas pris une ride
Le discours que j’avais prononcé le 18 février 2019 au nom du Conseil départemental de la Gironde lors d'un vaste rassemblement contre l'antisémitisme Place de la République à Bordeaux. Je…
Le discours que j’avais prononcé le 18 février 2019 au nom du Conseil départemental de la Gironde lors d'un vaste rassemblement contre l'antisémitisme Place de la République à Bordeaux. Je…
Les relations entre le monde politique et celui de l’argent reste difficile puisque sans moyens financiers il devient extrêmement difficile d’effectuer une campagne nationale. Depuis les deux dernières élections présidentielles on a bien vu que dans tous les camps les plafonds des dépenses ou les modalités de ces dernières pourraient un jour bouleverser le résultat.
«J'ai trois priorités: rétablir l'ordre, rétablir l'ordre, rétablir l'ordre. Je crois à l'ordre, comme condition de la liberté. Quand il n'y a pas d'ordre, la liberté est menacée» a martelé le nouveau ministre de l’Intérieur dans la cour de l'hôtel de Beauvau. Une vraie baffe décochée à son prédécesseur qui n’a cessé depuis son arrivée de clamer qu’il avait été et probablement resterait dans son esprit le garant de la sécurité des Français.
Je n’ai pas vu le temps passer. C’est le plus grave. J’ai conscience qu’il n’en reste plus beaucoup. Aurais-je encore longtemps la force de pédaler pour pouvoir me laisser aller en Roue Libre ? Peut-être que les chroniques d’après le 8 juillet 2024 auront une importance plus grande. Et ce quel qu’en soit le résultat. Il y aura une loupiote dans l’obscurantisme qui menace.
Il devient de plus en plus difficile en cette période de débattre. Ce mal de l’accusation facile, de la mise au ban des contestations, de la condamnation des simples remarques gagne du terrain quasiment comme un épidémie bien connue. Quand dans le fond on est voué aux gémonies par tous l’échiquier c’est que l’on devient libre
Aussi étonnant que ça puisse paraître en cette période de pouvoir d’Achat malmené je ne cesse d’apprendre que beaucoup de personnes s’envolent durant ces vacances vers des destinations ensoleillées : le Maroc, le Portugal et l’Espagne ! Pour ma part je repartirais bien respirer le printemps de Prague, l’un des plus belles cités du monde si l’on aime la finesse et la sérénité. Voici ce que j’ai ramené d’une escapade ancienne dans cette ville de souffrance qui vit donc toujours dans un bonheur teinté de crainte.
Cette carence se paie au prix fort avec de multiples faits divers exploités par les exploiteurs de la violence reposant sur des interférences religieuses dans la vie sociale. Le temps est venu (et c’est ma proposition) de mettre cette valeur essentielle à la qualité du vivre ensemble dans les principes fondateurs de la république.
Depuis des siècles il existe des territoires plus ou moins vastes qui rêvent de prendre leur indépendance. Même si cette ambition se heurte souvent aux principes d’une nation ou d’une collectivité une et indivisible, ils finissent toujours d’une manière ou d’une autre, par trouver des moyens de cultiver ce qu’ils estiment être une identité spécifique
Lorsqu’il me faut reprendre confiance et redécouvrir le vrai chemin de l’engagement qui aura été le mien, je relis avec un immense plaisir le discours de politique générale que Michel Rocard a prononcé le 28 juin 1988 devant une Assemblée Nationale où il n’avait pas de majorité. Chaque mot résonne fortement dans le contexte actuel de notre pays