Rentrée : la vaisselle sale sous le drapeau olympique
Rentrée… le mot lui-même n’appartient pas à ceux que préfère une majorité de personnes. C’est le signe pour ce qui reste une minorité à la réalité, à un rythme oppressant…
Rentrée… le mot lui-même n’appartient pas à ceux que préfère une majorité de personnes. C’est le signe pour ce qui reste une minorité à la réalité, à un rythme oppressant…
Le dimanche 25 septembre vers 20 heures alors que la polémique entre sceptiques et admirateurs de l’exploit battait son plein je ne sais toujours pas encore maintenant pourquoi j’eus l’idée d’entrer, une dépêche à la main en annonçant d’une voix grave : « Ben Johnson est déclassé pour dopage ! » Toutes les têtes se levèrent.
Même en triturant les chiffres dans tous le sens ; même en espérant un sursaut démocratique ; même en considérant que les résultats des européennes ne sont pas transposables pour un scrutin national ; même si l’on promet tout et n’importe quoi, il n’y pas de lumière à l’horizon.
La préoccupation du niveau des températures durant la période estivale est cette année encore plus prégnante qu’antérieurement. Il est vrai que les jeux olympiques dans les espaces urbains où ils seront installés risquent pâtir d’une canicule. Depuis plusieurs semaines le milieu économique parallèle cherche à obtenir des certitudes sur le sujet. Ils consultent des organismes privés pour obtenir des prévisions indispensables à l’évolution de leurs affaires.
omment la France ressortira-t-elle tant sur le plan sportif que sur le plan économique de l’organisation des Jeux Olympiques ? Nul ne le sait véritablement mais il faudra dans un domaine comme dans l’autre assumer des résultats bien différents des annonces qui ne cessent de s’accumuler.
L’affiche officielle des jeux Olympiques est à peine sortie que elle devient un enjeu politique. Une spécificité française. Très fournie et dans un style mi-bande dessinée, mi vue panomramique elle tente d’illustrer la richesse parisienne en monuments, en lieux de vie et en spécificités urbaines. Une telle profusion artistique contient obligatoirement des éléments discutables surtout quand l’arrière-pensée n’est autre que d’entretenir des polémiques utiles aux théories nationalistes ou populistes
La semaine qui s'achève aura marqué définitivement le gouvernement ... qui dévoile ses faiblesses potentielles.
Lors du congrès de Neuchâtel, le 25 novembre 1975, le président du Comité international olympique (CIO ), Juan Antonio Samaranch dont les idéaux n’étaient pas d’une grande clarté, avait déclaré : « Nul doute que les compétitions sportives, et en particulier les Jeux Olympiques, reflètent la réalité du monde et constituent un microcosme des relations internationales. »
Deux compétions olympiques fort différentes pour un cheval exceptionnel. Qui fut l'acteur de ces moments ? L'homme ou le cheval ? J'avais rencontré la deux...