Le lanceur de boomerang l’a repris en pleine face
Le boomerang est revenu après avoir été négligemment lancé vers ce pays un tantinet rebelle qu’est la France. Il a tournoyé au-dessus d’un peuple inquiet pour heurter au retour en…
Le boomerang est revenu après avoir été négligemment lancé vers ce pays un tantinet rebelle qu’est la France. Il a tournoyé au-dessus d’un peuple inquiet pour heurter au retour en…
Je suis fier qu’en France l’espace d’un Congrès cette tendance mortifère pour les démocraties ait été privilégié pour une noble cause. Je serai peu regardant sur la récupération qui en sera faite. Dans le fond je reste persuadé que toute acte de résistance concrète allant vers la libération des esprits dans la période présente constitue un espoir à valoriser.
Un vrai remaniement avec des déplacements de "chromosomes" destinés à consolider le passage à droite définitif. Le choix de la dernière chance
La diabolisation a conduit par exemple aux pires extrémités. Les Calvinistes, les Cathares, les Templiers, les hérétiques en général, les révolutionnaires, les royalistes, les juifs, les immigrés et bien d’autres groupes humains se sont retrouvés jetés en pâture à la majorité croyante ou simplement noyées sous la propagande. Un corps social diabolisé ne saurait parvenir au pouvoir.
Téléspectateurs et auditeurs se trompent puisque ces références à une situation apaisée et positive concerne les discussions entre les partis de gauche ou de droite préparant les législatives. Les services secrets ou au moins "discrets" qui alimentent les rédactions avides de sensationnel distillent des informations sur le climat régnant lors de rencontres bilatérales présentées comme des événements inédits.
En définitive, les sondeurs s'étaient trompés car ils avaient sous-évalué les scores des candidats installés sur le podium de l'élection présidentielle. La seule qui pourrait leur reprocher un optimisme malvenu…
La bombe à fragmentations que constitue la multiplicité des candidatures réputées de gauche au poste présidentiel va poursuivre ses dégâts aux législatives.
Je ne résiste donc pas à la tentation de vous délivrer pour ce docte anniversaire, ma vision de la scène 10 de l'acte 3 du Malade imaginaire que je me permets d'intituler « l'électeur imaginaire ». Bien évidemment toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé n'est pas pure coïncidence. Dialogue entre Eric et Paul !