Le « mal traité » européen se réveillera en fâcheuse posture
Il paraît que les bandits de grand chemin après avoir arrêté les diligences ouvraient les portes eet sous la menace de leurs armes clamaient « la bourse ou la vie ! ». Cette…
Il paraît que les bandits de grand chemin après avoir arrêté les diligences ouvraient les portes eet sous la menace de leurs armes clamaient « la bourse ou la vie ! ». Cette…
Tous les gouvernements qui se sont succédés ont détruit les moments de vie dans lesquels se forgeaient l’appartenance à un groupe, à une collectivité, à une nation. Toute la période d’après la dernière guerre mondiale avait servi à bâtir un système reposant sur la solidarité et la reconnaissance du principe voulant que l’on donne au moins autant que l’on recevait.
Combien de dictateurs ou de monarques républicains rêveront en assistant ou en regardant à distance le spectacle royal que produit en exclusivité mondiale le Royaume plus très uni ? Le retour à des us et coutumes d’un autre époque offre une occasion de constater combien la notion de démocratie reste fragile. La fascination pour les personnes sorties de la cuisse de Jupiter et entouré bien évidemment des ors, des fastes et des situations exceptionnels demeure dans les peuples.
Rappelons que depuis 1988, un financement public des partis est prévu, en fonction des résultats aux élections législatives et du nombre de parlementaires. Quand on sait que Les Verts, Les Républicains, le R.N, le P.S, le P.C sont des monuments en péril avec une trésorie dans l'orange ou le rouge vif, le premier tour des législatives devient aussi précieux que le tube reliant à la réserve d'oxygène pour un patient qui s'étouffe.
Derrière la fragmentation de la gauche aux élections présidentielles présentée comme une résultante de différences idéologiques fortes se profile une opération de saute mouton aux allures strictement financière.
Dès l'origine le projet de grand satde à Bordeaux était voué à l'échec et rien, absolument rien n'est réglé. tout le monde vogue à crédit sur des incertitudes et "non, rien de rien, je ne regrette rien" sur mes prises de positions d'alors et de maintenant.
Les services d'incendie et de secours créés par une loi de 2002 connaissent une période très difficile dont les citoyen.ne.s n'ont absolument pas conscience. En fait en maintenant 18 ans leurs missions ont considérablement évolué puisque les risques ont, notamment en Gironde, augmenté. Le Département cumule absolument tous les secteurs dangereux susceptibles de provoquer des événements individuels ou collectifs dangereux.
C'est une victoire à la Pyrrhus ou l'illustration parfaite de l'inconséquence d'un pays qui n'a aucune réflexion sur son avenir réel ! En rejetant (certainement légitimement) les recours déposés par des collectivités…
Sur un sujet essentiel pour la Gironde voici mon intervention en session publique du conseil départemental le 19 décembre dernier. Jusqu'à quand va-t-on nier la nécessité absolue d'assumer les conséquences…