Feuilleton de Noël : Georges et le sapin (1)
Les jours défilaient. Les habitudes l’emportaient sur tout le reste. Elles constituaient en effet le plus précieux des trésors, car elles assuraient que la vie pouvait se poursuivre sur un…
Les jours défilaient. Les habitudes l’emportaient sur tout le reste. Elles constituaient en effet le plus précieux des trésors, car elles assuraient que la vie pouvait se poursuivre sur un…
Les réseaux sociaux font débat. Ils ont leurs fans et leurs détracteurs. Chaque jour ou presque un événement rappelle le rôle de plus en plus prééminent qu’ils jouent dans des…
Encore une fois il faut qu’un organisme de solidarité indépendant (le Secours Catholique) se penche sur la société française pour qu’apparaisse un fort décalage entre la gouvernance libérale et l’état…
Les enfants actuels sont-ils majoritairement heureux au sens où ceux des années cinquante l’ont été ? Il est possible d’en douter tant ils évoluent souvent dans un contexte angoissant et même oppressant. Ils rencontrent de plus en plus de problèmes psychiques ou psychologiques, ils perdent pied assez facilement face aux contraintes éducatives officielles, ils manquent singulièrement de repères leur permettant de se construire une vie positive.
le manque de moyens pour faire face à la réalité dans ces deux secteurs devient effrayante. Une constante pour les deux secteurs qui pèsent sur les familles : un manque dramatique de places dans les établissements publics d’accueil. Des dizaines de milliers de personnes âgées dépendantes et des milliers d’enfants porteurs d’un handicap n’ont pas de solutions d’accueil
L’UNICEF France et la Fédération des acteurs de la solidarité révèlent, dans leur 6ème baromètre, une augmentation alarmante du nombre d’enfants sans abri, malgré les alertes répétées et les recommandations formulées, loin d’être suivies. L’incertitude du contexte politique fait craindre une dégradation de la situation et la cure d’austérité qui s’annonce n’incite guère à l’optimisme. Selon l’étude récemment publiée au moins 2 043 enfants étaient sans solution d’hébergement dans la nuit du 19 août dernier,
C’était la 147° édition de la seule journée des courses de trot sur l’hippodrome désormais éphémère de La Réole. Elle restera dans les mémoires par une affluence exceptionnelle sous un soleil qui a royalement accueilli un public très hétérogène. Il était assez facile de mesurer l’énorme besoin d’une population murée dans l’angoisse, la poisse humide d’une météo peu reluisante et avide d’espace où la liberté se vit sans grand effort.
Il n’y a pas une jeunesse globalement délinquante mais des éléments en nombre réduit qui dans des contextes particuliers utilisent l’illégalité pour exister ou défier un monde dans lequel ils s’estiment ou se trouvent réellement en échec. La récidive constitue d’ailleurs le principal problème. La légende actuelle entretenue pour des raisons électoralistes ou de propagande repose sur des considérations erronées voulant que l’indulgence judiciaire soit la cause de ces phénomènes exaspérants.
La violence ruisselle sur le monde et par conséquent sur la société française. Je l’ai maintes fois dénoncé mais il n’y a aucune chance que je sois entendu. Elle s’est infiltré dans tous les esprits et elle a même le privilège de n’inquiéter personne car elle est banalisée.