Le jour où je me retrouvais derrière une « mule » potentielle (der)
En 24 heures les oscillations du destin au Venezuela en ce début novembre 2011 ont été oppressantes. Rien n’est joué même si le retour vers la France s’annonce.
En 24 heures les oscillations du destin au Venezuela en ce début novembre 2011 ont été oppressantes. Rien n’est joué même si le retour vers la France s’annonce.
Le périple était totalement imprévu. Alors que j’étais président national du Club des Villes et territoires cyclables, j’ai été invité au Congrès panaméricain des cités du continent développant des politique en faveur de la mobilité douce du 3 au 5 novembre 2011. La réunion regroupant des dizaines de métropoles se déroulait à Medellín cité colombienne dont la réputation n’était pas liée à la bicyclette.
Quelqu’un peut-il m’expliquer en quoi l’aller-retour de l’avion présidentiel entre Paris et Nouméa était indispensable ? Lorsque le Président remettra les pieds sur le sol de la métropole quelle aura été la plus-value politique de ce déplacement effectué dans la hâte et avec une solennité aberrante ? Bien entendu le Président express a bombé le torse pour répéter qu’il s’agissait avant tout de rétablir « l’ordre républicain ».
Je ne sais pas vous mais moi j’ai horreur des salles d’attente, ces lieux que l’on ne fréquente que l’on est dans l’incertitude. Depuis la crise sanitaire elles deviennent froides car elles ont été dépouillées de ces revues dépenaillées qui ne parlaient que des personnages n’ayant jamais fréquenté les espaces dédiées à la plus difficile des qualités à acquérir : la patience. Nous en manquons tous et nous la sollicitons des autres quand nous-mêmes nous sommes incapables de la mettre en oeuvre.
Le périple a été un peu long et j’ai perdu l’habitude de ses levers au creux de la nuit pour rejoindre l’aéroport mérignacais. Créon enveloppé par la nuit laisse encore à la lune le soin de suppléer la disparition de tout les réseau d’éclairage public. Rançon du progrès l’attente et la préparation du vol sont plus logues que le vol lui-même. Les péripéties du contrôle de mon maigre bagage à main aggravent mon stress.
Alors qu'à la tribune le préposé aux hommages officiels lisait le contenu d'un descriptifs de 75 annes de participation directe ou indirecte de Marcel à la vie sociale, ce dernier a discrètement confié à son voisin : « me voilà bien confus...C'est trop ! Il faut qu'ils en gardent un peu pour ma nécrologie ! »
Marcel à 93 ans garde une mémoire intacte et peut partager les événements d'une longue carrière dans l'aviation. De l'Indochine à l'Algérie il a particpé directement aux combats avec des fortunes diverses.
Il y a une distorsion extraordinairement scandaleuse entre les propos tenus par les grands représentants de cette Droite obscène dans ses déclarations sur le laxisme de la justice et qui…
Grâce aux multiples offres des low-coast on peut avoir moins de dépenses pour parcourir des milliers de kilomètres sur la planète que pour se déplacer en automobile sur des autoroutes…