L’irresponsabilité génère toujours plus d’indifférence
Dans son ultime SOS hier soir pour sa survie politique, le Savoyard de Matignon, a utilisé une mot désuet car oublié du monde politique : responsabilité. Il l’a même répété à…
Dans son ultime SOS hier soir pour sa survie politique, le Savoyard de Matignon, a utilisé une mot désuet car oublié du monde politique : responsabilité. Il l’a même répété à…
La place devant le centre de secours grouille de monde. Des centaines de personnes se retrouvent autour des dizaines de tables dressées sous le ciel clément de la soirée du 13 juillet. On sent les vacances. On respire la rupture. Contrairement aux récentes éditions antérieures la pression a disparu. La crise sanitaire n'est vraiment plus dans les esprits. Elle appartient aux souvenirs dont on évoquera l'impact plus tard lors du retour de mauvais moments.
Lorsque vous avez les oreilles grandes ouvertes dans des lieux où il est possible d’écouter sans intervenir, une notion sociale prend de plus en plus d’importance, celle du «sanctionnez les autres de la manière la plus impitoyable qu’il soit mais laissez-moi continuer à faire comme eux ! ».
Le fameux lien social serait en passe de se déliter. Tous les jours ou presque les observateurs de la vie collective stigmatise un repli sur soi, une tendance au « maison, gazon, télévision » ou une vision égoïste des comportements. Plusieurs facteurs interviennent dans cette déliquescence du bien vivre ensemble.
Je crois de moins en moins à la lumière de l’expérience aux vœux que l’on formule rituellement à chaque début d’année.
J’aimerai bien que chacune ou chacun d’entre vous puisse écrire sa propre lettre au Père Noël. Une sorte de retour en arrière mais plus encore selon votre âge une projection vers l’avenir. Difficile de savoir ce qui serait essentiel ou subalterne ; ce qui relève du plausible ou du possible ; ce qui tient du matériel ou des valeurs essentielles. L’exercice n’est pas aussi simple qu’on le croit
La montée de l'égoïsme est devenue le phénomène social de ce début du XXI° siècle. Il a atteint son paroxysme sous l'influence de l'idéologie libérale qui s'insinue dans les esprits…
Il faut avoir le cœur bien accroché pour parfois dans la vie publique ne pas avoir une vrai envie de lâcher prise. Il paraît même que sur le plan personnel…