Le constat a des allures d’aveu d’impuissance. Il va participer au résultat des municipales et plus encore des européennes car encore une fois il va contribuer au discrédit du « politique ». Le pari perdu de François Hollande sur l’inversion de la courbe du chômage laissera des traces dans l’opinion publique. Une grande partie des Français verra dans son échec un nouvel exemple de l’impuissance des politiques face au chômage. Déjà mal en point le chef de l’État voit encore l’un de ses objectifs concrets s’enfuir devant lui comme le font les mirages dans le désert de la réussite. Tout a pourtant été tenté afin de lui permettre de s’approcher de la réalisation de sa promesse. Selon les chiffres divulgués en début de soirée, 10.200 nouveaux demandeurs d’emplois sans activité (soit la « catégorie A », selon la terminologie officielle, la plus suivie par les médias et le gouvernement) pointaient à Pôle Emploi fin décembre en métropole, portant leur nombre total à 3,3 millions, un chiffre record. En incluant les chômeurs ayant eu une petite activité, Pôle emploi dénombrait 4,89 millions d’inscrits à la fin de l’année, un plafond historique.
« L’inversion de la courbe du chômage pour l’ensemble des classes d’âge ne s’est pas encore réalisée sur le dernier trimestre, même si nous en sommes très proches », a également admis le ministère de l’Emploi quand depuis avril 2011, la hausse du chômage a été quasi continue, à l’exception des mois d’août et d’octobre 2013. Mais le gouvernement se défend en mettant en avant « un net mouvement d’amélioration » sur l’année: en 2013, la hausse des demandeurs d’emplois de catégorie A a en effet été plus limitée (+5,7%) qu’en 2012 (+10%). Il insiste aussi sur la décrue intervenue entre le début et la fin de l’année, avec en moyenne « 33.000 demandeurs d’emplois supplémentaires par mois au premier trimestre contre 2.500 au 4e », soit une « quasi-stabilisation » à ses yeux. Il y a également « moins de jeunes au chômage » qu’au début de 2013, plaide-t-il, mais les statistiques de Pôle Emploi montrent que la situation des seniors s’est, elle, encore détériorée. Mais qui a un intérêt pour ces statistiques dans une société des effets d’annonce rapides et généraux ? Pour la très grande majorité des électrices et des électeurs le mal est fait et rien ne changera dans l’appréciation que portent le « peuple » sur l’action gouvernementale. Le « politique » est impuissant face aux ravages du chômage. On va encore se contenter de regarder l’écume de la vague alors que les causes restent immergées !
Le désastre du début du XXI siècle dans l’industrie hexagonale ne pouvait pas s’estomper en deux ans. Le fiasco de la suppression de la taxe professionnelle destinée à éviter les délocalisations n’a pas arrangé les événements. D’autant que la Contribution sur la Valeur Ajoutée des entreprises (CVAE) pénalise gravement les entreprises de main d’œuvre et produit exactement l’effet contraire ! Croire que des mesures fiscales ou d’allègement de charges modifieront brutalement cette carence des entrepreneurs en matière d’innovation, de plan de charge, de travail productif c’est croire au Père Noël. Il faut avoir une offre adaptée et performante pour relancer la demande dans la société du « discount » où le « prix » devient de plus en plus le seul critère d’achat. Rien, absolument rien n’obligera un chef d’entreprise à embaucher si ses produits ne se vendent pas ou si les chantiers n’existent pas. Ni les stocks, ni le « chômage partiel » constituent des objectifs valables pour des entrepreneurs. La relance est un serpent qui se mord la queue car, pour exister il faut que l’offre et la demande aillent de pair. Dans le contexte de morosité ambiante, d’angoisse collective du lendemain, on va avancer à petits pas !
Faute d’une reprise suffisamment vigoureuse, les experts sont aussi circonspects pour 2014: l’Unedic pense que 63.200 demandeurs d’emploi sans activités supplémentaires devraient pousser la porte de Pôle emploi. Selon l’Insee, le taux de chômage devrait continuer à grimper pour atteindre 10,6% dans l’hexagone fin juin… Le « politique » multiplie les initiatives mais le fin mot de l’affaire concerne le (la) consommateur (trice) et plus encore le milieu économique. Or le gouvernement n’aura jamais la main sur ces 2 catégories. Pour gagner malgré tout la « bataille de l’emploi », le chef de l’Etat a décidé d’ouvrir sans attendre un autre chapitre, en proposant un « pacte de responsabilité aux entreprises »: qu’elles embauchent en échange de 30 milliards de baisses de charges. Souvenez vous de l’efficacité de la baisse de la TVA dans les secteurs de la restauration et son impact réel sur les emplois « officiels » ! Pourquoi embaucheraient-ils s’il n’y a pas de débouchés? Pourquoi embaucheraient-ils si les clients ne sont pas au rendez-vous? Comment financeront-ils leurs investissements si les banques ne les suivent pas ? Qui va réclamer la transformation des remises de charges en profits? Patronat et syndicats ont été reçus à Matignon pour lancer sans attendre ce nouveau chantier, le jour même de la parution des chiffres de Pôle Emploi. Mais pour que ce nouveau pari réussisse, il faudra que les entreprises jouent le jeu… et ça c’est quasiment perdu d’avance !
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Le titre de votre texte, Monsieur, est étrange.
Vous dites: « Le « politique » est de plus en plus tributaire de « l’économique » ».
Ce que je ne comprends pas ici est pour quoi dites-vous « de plus en plus », alors que de tout temps le « politique » n’a jamais eu d’autre vue que « l’économique ».
Non, le Politique n’a pas tant changé que cela, des hommes et femmes au service de la communauté existent encore et existeront demain.
Ce qui a changé par contre et d’une façon outrancière, c’est bel et bien « l’économique ».
Les grands patrons de la fin du 19ème siècle, au début de » l’ère industrielle », en Europe, s’il étaient paternalistes et peu enclins aux avancées sociales, avaient au moins la décence de tirer leurs immenses profits de la création de biens matériels.
Entre les tissus et les mines du Nord de la France ou l’huile d’olive de Provence, peu importe, les financiers produisaient au moins quelque chose !
Aujourd’hui les financiers produisent de la dette, dette seule capable de les enrichir !
Quelle politique mener dans ce monde ou l’argent se vend et s’achète, indépendamment de toute réelle production.
Trouver du travail à des millions d’ouvriers n’est pas nécessaire pour s’enrichir, l’informatique n’a besoin que de peu d’employés pour lancer des ordres d’achat !
Les seuls ouvriers dont la communauté ait encore besoin fabriquent des t-shirt et travaillent dans des conditions d’esclavage.
Conditions dont peu d’entre nous se plaignent, nous qui sommes si heureux de trouver de quoi nous vêtir à bas prix.
Non le politique n’est pas de plus en plus tributaire de l’économique, il n’a simplement plus aucune structure nationale et profitable sur laquelle s’appuyer .
L’argent est détenu maintenant hors des frontières nationales.
Par la Banque des règlements internationaux, qui se fout de la politique, n’ayant d’autre ambition que l’endettement des nations.
Le « Politique » n’est plus qu’une vue de l’esprit, une sorte de religion à réinventer, une philosophie à redécouvrir, ou plus simplement une langue morte.
Les préceptes de la démocratie sont nés en Grèce antique, ils y sont morts aussi.
« Liberté, Egalité, Fraternité », psalmodié, versifié, en toutes les langues, n’a aujourd’hui pas plus d’effet que n’en ont les prières des croyant, ou tout autant, selon sa foi.
Liberté,Egalité, Fraternité, oh, nos pères révolutionnaires, non ce n’est pas pour rien que vos têtes tombèrent, votre sang en rédemption, et notre pain quotidien…
Ah ça ira ça ira…
Les grandes entreprises (entendez les affidés du MEDEF) joueront le jeu de mettre les subventions dans leur grande poche mais ne créeront pas pour autant de l’emploi.
Quant aux petites, elles seront encore une fois un des nombreux dindons de la farce.
Ras le bol de tous ces « dirigeants » qui nous prennent pour des ignares !
Le temps de la mécanisation , puis de l’industrialisation et maintenant de l’informatique ont permis des gains de productivités mais aussi des accomplissements de tâches autrefois manuelles.
La population française comme mondiale s’accroît, semble-t-il !
Alors que 1 + 1 = 2, comment voulez-vous qu’il y ait du travail pour tous !
Et combien sommes nous à vouloir retourner dans les champs, pour sarcler les poireaux, botteler le foin, cueillir le haricot vert !
À battre le métal rouge, à peindre au pistolet nos bagnoles, à vouloir combattre au front ! Machines-outils, robots et drones sont là pour ça !
Alors arrêtez Mesdames et Messieurs les Politiques de nous prendre pour des neuneux ! Les chômages à temps plein ou partiel arrangent bien les gentes dames et beaux damoiseaux de l’économie capitalistique bien réelle !
Les esclaves d’un temps moderne sont là. Avec quelques indemnités en subside afin d’avoir les narines hors de l’eau.
Les 85 personnes les PLUS riches au monde (la Terre, monde limité et finit), possèdent autant que les 3 500 000 000 personnes (oui, 3,5 milliards !) les plus pauvres.
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20140124trib000811681/qui-sont-ces-85-milliardaires-dont-la-fortune-equivaut-a-celle-de-la-moitie-de-l-humanite.html
Étant donné l’ampleur de la concentration grandissante des richesses, la confiscation des opportunités et la représentation politique inégale constituent une tendance forte et inquiétante. Autres exemples :
– Près de la moitié des richesses mondiales sont maintenant détenues par seulement 1 % de la population.
– La richesse des 1 % les plus riches s’élève à 110 trillions de dollars. C’est 65 fois la richesse totale de la moitié la moins riche de la population mondiale.
– Sept personnes sur dix vivent dans un pays où l’inégalité économique a augmenté au cours des 30 dernières années.
– Les 1 % les plus riches ont augmenté leur part de revenu dans 24 des 26 pays pour lesquels nous disposons des données entre 1980 et 2012.
– Aux États-Unis, les 1 % les plus riches ont confisqué 95 % de la croissance post-crise financière depuis 2009, tandis que les 90 % les moins riches se sont appauvris.
http://www.suisse.attac.org/La-fortune-des-85-personnes-les
Les gros mots comme PIB, richesse, capital, travail ne doivent plus être les piliers principaux de notre société civile, laïque et humaniste.
A Davos comme ailleurs, la question est comment maintenir ce cap(italisme), sans que la corde, les cordes de notre piano mondial ne cèdent ! Comment maintenir l’Humain sous le joug du Kapital qui tapote les noires, blanches, jaunes etc. ? Le bâton ou la carotte ?
le politique doit d’urgence reprendre la main sur la finance et refuser les diktats de Bercy . c’est plus que jamais avoir le courage de refuser les politiques d’austérité qui menacent le vivre ensemble et la république
Le politique tributaire de l’économique mais comment pourrait il en être autrement…….
Pour payer notre pouvoir régalien, il faut une activité économique c’est la base.
Mais avez vous essayez de vous mettre dans la peau d’un entrepreneur. Si on part avec une idée, il vous faut un juriste, un comptable, un local, du matériel et vous n’avez pas entrer un sou.
Prenons le local, je vous raconte ce que viens de vivre un de mes copains. Il recherche un local susceptible de recevoir quelques clients et pouvant servir de salle de réunion, de formation soit environ 60 m2. Il s’agit d’informatique donc pas de bruits et nuisances pour les voisins. Il a chercher son local 6 mois. Quand il trouve un local, il était dans un état déplorable, pas de possibilité de recevoir des handicapés (pas de rampe, pas de wc adaptés), pas d’électricité conforme et un fournisseurs avec des sautes de fournitures coupures intempestives, pas d’internet rapide prix demandé 1200 euros et nous sommes dans l’entre deux mers…….Donc pour débuter, il travaille depuis chez lui et loue occasionnellement une salle de réunion sur Bordeaux.Le problème va se reposer de façon aiguë quand il aura développer son activité et devra embaucher : son domicile ne sera adapté aux normes pour le personnel.
Dans les mairies,aucun local n’est disponible pour ces bébés entreprises.
A l’embauche, le coût pour l’entreprise sera élevé (équivalent à ce que coûte un employé allemand) et pourtant le net que touchera l’employé sera plus faible (700 euros environ de moins qu’un employé allemand).
http://www.journaldunet.com/management/expert/56243/allemagne-france—comparons-les-feuilles-de-paye-des-salaries.shtml
Il y a vraiment des questions a se poser sur l’usage des charges : Pourquoi faire poser ses charges que sur les entreprise alors que la consommation de ces services touche tout le monde du bébé aux grand pères en fin de vie ? la politique maladie et familiale doit être porter par tous pas seulement par les entreprises. Un peu de taxe supplémentaire qui touche les importations pourra peut être aussi compenser le dumping social de certains pays……
Il y a aussi d’autre freins plus insidieux comme le poids de la norme, les effet de seuil, le poids du droit du travail et l’instabilité des normes..
Le droit du travail par exemple, il ne faut pas l’annuler mais mieux le réécrire pour qu’il soit applicable, lisible et opposable à tous et renvoyer les particularités de chaque fonction à la convention collective….Pourquoi dans le commerce, les entreprises peuvent faire travailler leurs employés plus de 35 heures et ne pas payés la totalité du temps de présence…
Les aides aux entreprises posent en elles mêmes aussi problème, elle sont essentiellement tourner vers les grandes entreprises alors qu’en France ce sont les petites et moyennes qui embauchent le plus…
Ne vous désolé pas les politiques ont du travail mais on une introspection a faire sur leur langage pourquoi avoir dit la courbe du chômage doit s’inverser à la fin de l’année et ne pas avoir annoncer une évaluation des politiques déjà mis en place et qui ne marche pas pour lutter contre le chômage : les aides aux entreprises à trier, les aides aux particuliers, les freins à l’embauche à identifier et à corriger, les aides aux chômeurs à mettre en place pour faciliter le retour à l’emploi ( je ne connais toujours pas les manques de personnel sur le lieu où j’habite et les formations pour y parvenir).
D’autre part la mise en avant de professions qui ne permettent pas au personne de vivre de leur activité professionnelle (ex la plupart des personne de l’aide à domicile n’ont pas de temps plein et sont payés un minimum) quel parent souhaite la pauvreté pour les siens……
Il aussi agaçant pour le commun de voir les abus de langage utilisé et du refus d’admettre ses erreurs.
Une des solutions qui n’a pas été retenue par la majorité actuelle était de revenir sur la reforme des retraites précédente, qui a rallongée l’âge de départ de 5 mois par année restant à accomplir (une paille), soit 2 ans de plus pour ceux nés en 1955.
Car il n’est pas difficile de comprendre que cela diffère les embauches de deux années, et que ce n’est vraiment pas le moment.
A mon sens afin de sauver le régime par répartition, il aurait été préférable de baisser le montant des retraites à partir d’un montant à définir, car la majorité des retraités ont des revenus supérieurs au reste de la population, alors que leurs besoins financiers sont bien moindres.
Au minimum il fallait laisser le choix, partir plutôt avec moins ou continuer !
J’aurai 60 ans le mois prochain, je dois attendre encore longtemps, je vais engranger des trimestres et un échelon dont je n’ai pas besoin, et pendant ce temps là celui ou celle qui pendra ma place attendra aussi !
Allez comprendre !
…car la majorité des retraités ont des revenus supérieurs au reste de la population, alors que leurs besoins financiers sont bien moindres.?????????
D’où tenez vous ce scoop qui a tout l’air d’une idée reçue ?
D’après les études que j’ai lues, je constate que les retraités, contrairement à ce que prétendent les médias ne sont pas mieux lotis (sinon moins ) que le reste de la population active.
Une minorité, certes (comme dans toutes les tranches de population ) a des revenus confortables pour ne pas dire parfois indécents, mais c’est loin d’être une généralité.
Je n’en fais pas une affaire personnelle, je ne me plains pas de mon sort ( en étant quand même attentif à mes dépenses ) , mais je vois bien autour de moi que beaucoup ont de la peine à joindre les deux bouts….
C’est pourtant la réalité, les retraités en moyenne sont mieux lotis que le reste de la population. C’est un peu logique, beaucoup possèdent leur logement et n’ont plus de crédits à rembourser, ils ont moins besoin de s’équiper, nombreux ont des revenus du patrimoine… De plus jusqu’à présent ils ont été relativement épargnés concernant l’effort demandé à la population pour sauver notre système social.
http://www.cor-retraites.fr/IMG/pdf/doc-1232.pdf
http://www.cor-retraites.fr/IMG/pdf/doc-2176.pdf
http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/08/28/la-france-est-le-pays-le-plus-genereux-du-monde-avec-ses-retraites_3467399_3224.html
Cordialement.
J-P
@J-P REIX
Dixit « le Monde » que vous citez :
« »Les retraités ne sont pas davantage « privilégiés » que le reste des Français, mais notre système par répartition leur assure, même en temps de crise, le même niveau de vie que celui des actifs. » »
N’oubliez pas que les retraites ne sont pas une faveur , mais un DETTE. L’argent des retraités n’appartient pas plus au caisses ou à l’état que l’argent que vous déposez à la banque n’appartient aux banquiers, en dépit de ce que l’on voudrait nous faire croire.
On ne « reproche »pas aux gens qui ont fait fortune dans le commerce ou l’industrie de jouir de la fortune qu’ils ont amassée (plus ou moins légalement parfois).
Il ne faut pas prêter l’oreille aux médias qui semblent organiser systématiquement des fractures entre les classes sociales en nous montrant des retraités sur leur bateau, en voyage, se livrant à des sports dispendieux.
On évite de s’attarder sur ceux qui subsistent grâce aux Restos du Cœur ou de « récups » diverses et de tous les retraités bénévoles sans lesquels nombre d’associations ne pourraient vivre.
Lisez donc plutôt cet extrait du journal de la F G P R (fédération des retraités de la fonction publique)
http://www.fgrfp.org/presse/CR/pdf_cr/188ap.pdf
Riches, les retraités ?
Selon l’I N S E E , 85 % des héritages sont inférieurs à 100 000€ et un tiers d’entre eux ne dépassent pas 8 000€. Les retraités, dans leur quasi-totalité, ne possèdent, au mieux, que leur habitation principale (NOTE dont ils doivent payer les impôts et assurer l’entretien) .
Ce qui tord le cou à l’idée répandue dans les
médias des « retraités privilégiés ».
Cordialement
J.J.
Nous pouvons-être d’accord sur plusieurs points que vous mentionnez.
Et il est bien naturel de vouloir profiter de sa retraite !
Il faut aussi savoir remettre ses idées en question, j’ai donc regardé de nouveau ce sujet :
En moyenne les retraités disposent bien de plus de moyens que le reste de la population et cela ne me semble logique. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas des retraités miséreux, mais heureusement de moins en moins.
http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ref/revpmen09d.PDF
http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ip984.pdf
J’ai de grands enfants et des petits enfants, honnêtement j’ai plus d’inquiétudes pour les retraités futurs que pour les actuels.
Cordialement.
J-P