Des finances publiques victimes de l’entêtement ultra-libéral
Tour à tour le Fonds monétaire International et surtout la Cour des Comptes viennent de démontrer que les décisions prises par Bercy et Lemaire comme celles de tous ses prédécesseurs mènent droit dans le mur. Le FMI donne raison (ce qui est paradoxal) aux économistes qui réclament l’arrête du gavage avec le l’argent public des actionnaires. Bien entendu c’est affirmé avec des mots choisis pour ne pas froisser les ultras-libéraux.