
Les fleurs contaminées, c’est le bouquet !
Nous sommes entrés dans une période où il est difficile de ne pas se méfier de tout. Nous avançons avec le sentiment que tout recèle un piège, un danger, une…
Nous sommes entrés dans une période où il est difficile de ne pas se méfier de tout. Nous avançons avec le sentiment que tout recèle un piège, un danger, une…
Le seul problème c’est que vous soyez mort ou vivant, passé la septantaine, en ces périodes caniculaires, tout le monde vous conseille de vous conserver au frais. Cette protection ne préserve pas pourtant du pire des supplices infligés par les "monstres" de l’été, tant redoutés. Depuis peu il existe en effet des « tigres » (et même depuis peu des collègues migrants venus du Nil) menaçants dont personne ne sait encore vraiment se protéger dès que la chaleur un tant soit peu humide est revenu. Peu importe d’ailleurs qu’il soit affublés de la parure angoissante d’un fauve, les moustiques deviennent les cauchemars des hommes comme moi, qui bien qu’ayant l’âme sensible de Gandhi, se croient protégés par leur peau tannée !
Quelque part comme à l'époque des cèpes, nous entrons dans deux temps forts girondins : la cuisine des cochons que l'on ne tue plus à la ferme et celle de la lamproie que l'on pratique en secret dans les cuisines d'antan. En fait cette dernière, beaucoup moins répandue que la première ne concerne vraiment que les spécialistes.
Le pire est à craindre puisque l’agence régionale de santé (ARS) de Provence-Alpes-Côte d’Azur et la préfecture du Var confirment un cas autochtone de chikungunya dans le département du Var. Un seul…
L'été point le bout de son nez ou de son sein si on se trouve sur les plages discrètes. Qui n'a pas rêvé d'une belle soirée sous les étoiles quand…