L’impossibilité de concrétiser les effets d’annonce

Il serait intéressant de comparer par exemple depuis le début du mandat de l’actuel Président de ce qu’il nous reste de République les promesses d’ouverture de crédits ou d’amélioration des places dans les services publics avec les résultats réels. Il arrive que le taux de réalisation ne dépasse pas les 10 % car la pesanteur et les ajustements financiers empêchent toute avancée des dossiers. Bercy nul en prévision si l’on en croit Le Maire a l’art et la manière de mettre le frein en bloquant les décrets d’application ou en complexifiant les processus d’attribution.

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Les tête-à-tête qui poussent le bouchon trop loin

Lorsque l’on occupe un poste élevé dans la hiérarchie du pouvoir, l’ambition de vos opposants qui prétendent à votre poste, c’est de pouvoir légitimer leur positionnement. En acceptant alors qu’ils sont en place de débattre avec les responsables du Rassemblement national, le Premier ministre et selon ses affirmations, le Président de ce qu’il reste comme République, offre à leurs challengers une légitimité que rien ne leur a conférée. C’est une stratégie de communication payante pourvu qu’elle soit mise en œuvre au moment opportun.

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Une opposition ne se forge jamais une crédibilité dans l’exagération

En allant à l'inadmissible ou aux confins de l'indécence, les opposants se quel bord qu'ils soient espèrent attirer l'attention sur ce qu'ils pensent être une farouche détermination. Le résultat est rarement positif surtout qu'un jour ou l'autre en se retrouvant dans une majorité ils se disent écœurés par les pratiques des élus en désaccord avec eux. Les pratiques en vogue actuellement dans les assemblées conduisent au discrédit général du personnel politicien.

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La défiance dans les partis ne cesse de progresser

Sans être grand devin ou s’attribuer la stature d’un politologue de Sciences Po il était assez aisé de prévoir que la tempête sociale monterait fin octobre et probablement fin novembre. Compte tenu de la situation des ressources de la majorité des ménages il ne fallait pas s’attendre à un raz-de-marée de grévistes. Comment se priver le mois prochain des ressources des jours d’arrêt quand avec sa paye ou sa retraite on a bien du mal à faire face à la montée inexorable des charges contraintes quotidiennes ?

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