Une plongée dans le grand « bleu » qui ne fait pas de mal
Il faut arriver sur la pointe des bottes, compte tenu des flots déversés par le ciel depuis quelques jours. La tête vers un ciel chargé de nuages ouatés, roulant vers…
Il faut arriver sur la pointe des bottes, compte tenu des flots déversés par le ciel depuis quelques jours. La tête vers un ciel chargé de nuages ouatés, roulant vers…
Il existe des études qui permettent aux médias d’annoncer des informations qui augmentent les audiences. Il suffit de prendre un résultat brut sans lui ajouter les indispensables explications pour qu’il soit compris et surtout reconnu comme valable. Depuis quelques jours les habituels exploitants des chiffres à sensation ont trouvé un bout d’un travail du cabinet Astérés
Le jeudi est un jour bâtard car il arrive bien tard dans la famille de la semaine et n’augure pas une filiation reconnue avec ce foutu week-end auquel on aspire… En général il n’existe vraiment que quand il est accompagné de 3 autres « copains » pour faire un quatuor acceptable en période de boulot. Hier il ne s’annonçait pas terrible.
Le choix de la période pour augmenter le nombre de trimestres pour percevoir sa pension et pour fixer l’âge à partir duquel il sera possible de se retirer du monde du travail dénote la méconnaissance totale du pouvoir des réalités du pays. L’erreur risque de se payer cash dans quelques semaines.
Lorsque vient le moment de donner tout son sens au droit à la pension que l'on connaît mieux sous le mot de « retraite » bien des heureux bénéficiaires évoquent une liberté que le monde du travail ne leur a pas nécessairement accordée. Souvent elle s'accompagne d'un changement radical de style de vie avec des engagements nouveaux ou des « obligations » que l'on s'impose. Christian et Chantal ont décidé pour leur part de rompre avec le rythme et les conditions de vie qui ont été les leurs. Sur leur quotidien ils ont écrit le mot liberté pour se prouver qu'elle existait encore dans notre monde très formaté.
Se baigner ! A Sadirac, à la fin des années 50 et au début de la décennie suivante, il était totalement impossible de trouver une autre solution pour savourer ce privilège que celle la grande bassine à laver les draps chauffée au soleil. La notion même de piscine appartenait aux rêves des urbains venant en villégiature dans notre campagne démunie
Extraordinaires de motivation, de générosité, de force mentale, Sophie et Julie ont éclairé la matinée sur le parvis de l'Hôtel de ville. De vraies chevalières de la roue ronde qui transforment en opération de solidarité leurs propres vacances.
Antoine Rigo a écrit en cent ans de sa vie, le vrai livre d'histoire de cette France dont il ne comprend pas qu'elle soit disloquée. Son sang reste transalpin. Son cœur est depuis longtemps français. Ses souvenirs appartiennent aux deux pays.
Pas une minute dans ce monde absurde sans que le sang, les larmes, l’horreur, la terreur, l’effroyable ne sévissent au détriment de femmes, d’enfants, d’hommes dénués de toute responsabilité dans le déclenchement d’une confrontation. Tous subissent des situations niant le vrai respect de la vie humaine. Le seul véritable problème réside dans le fait que nous n’accordons pas la même importance, la même valeur à la disparition des uns ou des autres.