Oublions « pouvoir d’achat » et parlons de « pouvoir de vivre »
Au cours des années 2000, on a ensuite enregistré un net décrochage entre pouvoir d'achat perçu et pouvoir d'achat mesuré. Une des explications possibles de ce décalage serait liée au poids croissant des dépenses pré-engagées dans le budget des ménages. Elles ne cessent de croître.