La détresse profonde des établissements médico-sociaux
Le réseau des EHPAD publics traverse une crise sans précédent de financement. La faillite en menace certains et les diificultés se multiplient
Le réseau des EHPAD publics traverse une crise sans précédent de financement. La faillite en menace certains et les diificultés se multiplient
Dès que les Bleus se seront dispersés et que le football redeviendra « ordinaire » les préoccupations vont remonter comme les bulles du fond de l’étang. Certes l’approche des rendez-vous des fêtes vont masquer encore quelque temps l’inflation, la reprise de la pandémie de la Covid, les coupures d’électricité potentielle, la guerre aux portes de l’Europe, l’amorce d’une crise de l’immobilier et le fonctionnement démocratique de l’État.
Selon un rapport spécialisé hier, les versements aux investisseurs ont augmenté de 11% sur les trois premiers mois de l'année pour atteindre 302,5 milliards de dollars, un record pour cette période qui n’est pas la plus « profitable » de l’année.
Durant toute la durée de la pandémie, les médecins ont alerté sur le fait que les conséquences sur la santé ne seraient pas exclusivement liées à la Covid. Les retards pris dans la détection des maladies habituelles responsables de nombreux décès en raison des sous-effectifs hospitaliers, de la réticence à se rendre dans les cabinets médicaux et l'allongement des délais de prise en charge dans certains secteurs, produiraient une sur-crise ravageuse.
Un ami créonnais de longue date soumet à ma réflexion un document intitulé « Alternatif Bien Être » qui graphiques à l'appui, explique que la politique de lutte contre la pandémie serait douteuse voire totalement inefficace. Il me demande de vous en parler et de fournir mon avis. En fait la démonstration repose sur des statistiques exploitées de manière fort différentes que celles qui sont distillées par les communiqués des ARS.
Hier matin j'ai pris deux acfés avec un sapeur-pompier professionnel girondin qui pose les vrais problèmes des secours : augmentation des secours à personne et surcharge permanente des urgences hospitalières. La situation est donc très fragile
Deux infirmières parties de Créon sont revnues 13 jours plus tard après un périple de 843 kilomètres et le plaisir de "l'avoir fait". Le soir de leur arrivée elles étaient en terrasse pour savourer la réussite du défi qu'elle s'étaient fixé.
Boris Johnson aura du mal à tenir malgré son ton provocateur et son exhortation les entreprises à accélérer leurs préparatifs pour faire face aux nouvelles règles douanières qui s'appliqueront dès janvier... Le double confinement en quelque sorte !