Ne vous faîtes pas trop de nœuds avec les vœux
« Je te (vous) souhaite une belle et heureuse année 2025 ». La phrase tout prête va résonner des millions de fois, dans toutes les langues sur une planète qui n’a aucun…
« Je te (vous) souhaite une belle et heureuse année 2025 ». La phrase tout prête va résonner des millions de fois, dans toutes les langues sur une planète qui n’a aucun…
RETRO GLOBAL La femme française de l'année : Gisèle Pélicot La femme du monde de l’année : Narges Mohammadi iranienne Prix Nobel de la paix L’homme français de l'année…
C’était la 147° édition de la seule journée des courses de trot sur l’hippodrome désormais éphémère de La Réole. Elle restera dans les mémoires par une affluence exceptionnelle sous un soleil qui a royalement accueilli un public très hétérogène. Il était assez facile de mesurer l’énorme besoin d’une population murée dans l’angoisse, la poisse humide d’une météo peu reluisante et avide d’espace où la liberté se vit sans grand effort.
Tous les soirs au moment d’entamer une chronique je relis vos commentaires. J’ai vraiment l’impression désagréable de jouer les mauvais augures ou de proposer que les aspects les plus déprimants de l’actualité ou d’évoquer des moments pénibles. Je n’arrive pas à trouver en lisant et relisant tout ce que l’actualité propose un thème pouvant se prêter à une bonne dose d’optimisme.
Dans la vie quotidienne il y a bien des gestes qui ne préoccupent guère même s’ils ont accompagné toutes les étapes d’une vie. Ils prennent pourtant une importance bien différente selon l’âge. Au risque que j’assume d’être taxé de je ne sais quel à priori pro masculin, je m’attacherai à évoquer le privilège de pouvoir pisser à sa guise.
Je vous proposerai chaque matin de parution de Roue Libre entre aujourd'hui et le 17 juillet et le 17 août des élucubrations estivales tirées de mon quotidien. Pardonnez-moi ce nombrilisme exacerbé... mais je me lasse de l'actualité qui me déprime.
omme beaucoup de ces bourgades, Rostrenen a choisi de résister en s’accrochant à ses rendez-vous traditionnels. Cultiver son identité devient alors essentiel pour rassemblée toutes les forces qui subsistent.
Croître, croître, croître ! Produire, produire, produire ! Consommer, consommer, consommer ! Profit, profit, profit ! Les conséquences importent peu car ce qui compte uniquement dans cette incantation c’est de pouvoir annoncer que l’essentiel devient l’emploi qui doit être accepté comme un bienfait de l’interminable développement du fric réputé clé du bonheur. En
Nous sommes toutes et tous des anciens élèves avec des souvenirs plus ou moins agréables. Depuis que l’école est devenu obligatoire il n’y a pas d’exception au passage sur ses bancs. C’est vrai que la tradition veut « qu’avant ce fut mieux que maintenant » dans ce domaine comme dans d’autres. En fait rien ne prouve qu’un enfant du XXI° siècle ait l’espoir de meubler sa mémoire de moments plus mauvais que les nôtres.