La proximité, stratégie gagnante de Jean-Pierre Pernaut

Il avait inventé « la locale » sur un média essentiellement confectionné à Paris, par des journalistes mal à l'aise par rapport avec la France réputée profonde. Sa fidélité jusqu'au dernier JT qu'il ait présenté à cette stratégie lui valu bien des sarcasmes tant elle était décalée avec les habitudes de rédactions télévisées habituées à répercuter vers le « bas » les consignes du « haut ».

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Le peuple ukrainien a plus « d’une tour » dans son sac

Les Russes semblent vouloir mettre en œuvre des tactiques passéistes ce qui créée un espoir mais laisse aussi planer de grandes craintes. Les voici persuadés que la télé media de masse qu'ils bâillonnent dans leur pays, constitue une menace pour leur opération d'envahissement de l'Ukraine. Un vieux réflexe de toutes les dictatures qui vole en éclats à cause des réseaux sociaux.

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« Le nationalisme c’est la guerre (…) ce n’est pas seulement le passé, cela pourrait être notre avenir »

« Il faut vaincre ses préjugés. Ce que je vous demande là est presque impossible, car il faut vaincre notre histoire », avait-il dit ; « et pourtant, si on ne la vainc pas, il faut savoir qu'une règle s'imposera, Mesdames et Messieurs : le nationalisme, c'est la guerre ! La guerre, ce n'est pas seulement le passé, cela peut être notre avenir."

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Les « réfugiés » acceptés… les « migrants » refusés.

Des flots d'une compassion logique déferlent en Europe sur le sort du peuple ukrainien. L'épouvantable attaque dont il a été victime explique ce sentiment collectif de solidarité à l'égard des femmes, des enfants, des personnes âgées devant faire face aux bombardements, aux menaces de missiles, aux menaces de pénurie sur les produits essentiels. La prise de conscience d'une situation humanitaire dégradée a provoqué en quelques heures l'ouverture des frontières de l'espace Schengen à plus de 360 000 « réfugiés»

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Les menaces financières n’ont jamais arrêté les bombes et les balles

Paul Valéry a résumé l'histoire de tous les conflits en affirmant que « la guerre c'est le massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent et ne se massacrent pas. » Il n'y a jamais eu une aussi efficace synthèse de ce qu'il se passe en Ukraine.

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Le chien dans le jeu de quilles électorales

Devons nous dans les circonstances tragiques que nous traversons nous priver de l'humour et du rire ? Depuis des mois nous allons de Charybde en Scylla en matière de divertissement et ce ne sont pas les événements actuels qui changeront ce climat d'une morosité croissante. Alors la moindre lueur de joie possible se doit d'être acceptée avec l'appétit d'un naufragé devant une côte de bœuf de Bazas.

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On va se faire du mouron pour notre blé

S'il est un symbole de l'indépendance alimentaire d'un pays c'est bel et bien le blé. Cette céréale aux multiples types est en effet considérée depuis des siècles, comme la denrée essentielle à l'alimentation humaine. Il fait partie avec le maïs et le riz des éléments essentiels de la nourriture quotidienne de millions d'humain

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Mon duo de géopoliticiens le plus crédible

Tous deux m'ont beaucoup plus appris. Ils m'ont aidé à me méfier des affirmations faciles, des communiqués grandiloquents, des déclarations de guerres en tous genres, des conflits réputés ethniques ou religieux, des enjeux purement financiers et des gesticulations médiatisées.

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Elle court, elle court… la grosse dette vers le précipice

La dette publique française catastrophique a été masquée par les taux d'intérêt très bas ce qui permet à Bercy d'augmenter les capitaux empruntés avec des frais financiers négatifs ou très très bas. la dette peu chère c'est terminé en raison de l'inflation mais chut c'est confidentiel : les taux d'intérêts vont largement augmenter naturellement avec en plus le risque d'un conflit aux portes de l'Europe.

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