Les restrictions imposées par la pandémie risquent bientôt de relever des méthodes utilisées pour la confection de la dentelle bretonne. Toute annonce de possibles décisions massives provoque de vives réactions. La situation disparate des niveaux d’alerte renforce l’idée que le sur mesure semble devenir l’une des solutions à envisager.
Une vingtaine de départements évoluent défavorablement et il faut donc trouver des processus en adéquation avec la progression du virus alors qu’il pourrait y avoir surtout sur la façade ouest des aménagements permettant de lever une part des interdictions en cours. Il semble bien que la densité de la population ainsi que la température moyenne puissent êtres des critères encore non analysés mais peut-être importants. Des progressions sont inexplicables et des baisses pas davantage.
Le choix gouvernemental consistant à attendre de signes forts dans un sens ou dans l’autre sur les statistiques des contaminations et des hospitalisations mériterait une certaine expérimentation de décisions décentralisées. Ce n’est vraiment pas dans la nature du pouvoir actuel ou alors sous la contrainte des événements.
Les circulaires ministérielles attestent pourtant de cette volonté d’uniformiser le combat contre la pandémie. L’une d’entre elles concernaient les EHPAD dans lesquels on le sait la COVD-19 a causé bien des ravages. Les résident.e.s confinés avaient largement souffert de l’isolement imposé par un confinement strict. Psychologiquement l’absence de visites familiales ou des animations distractives a lourdement pesé sur le moral de personnes déjà fragilisées.
La priorité donnée à la vaccination des personnels ainsi que des personnes dont ils ont la charge a singulièrement changé la donne. Les taux pour les premiers n’est pas encore très satisfaisant alors que pour la seconde catégorie il couvre la quasi totalité des gens concernés. Ces établissements constituent donc des repères pour l’impact des vaccins. Force est de constater que la pandémie a marqué un net recul dans son impact sur les décès.
Immédiatement une revendication de pouvoir retrouver une certaine liberté de déplacement a été formulée. Une décision ministérielle empêchait les « vacciné.e.s » de sortir. Le conseil d’État a tranché. Prise dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de Covid-19, la recommandation du ministère des solidarités et de la santé d’interdire totalement les sorties aux résidents d’établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) a été jugée « disproportionnée » par les juges. Ce « confinement imposé » peut « altérer l’état physique et psychologique de nombreux résidents, ainsi que plusieurs études l’ont démontré », souligne l’arrêt.
Les recommandations diffusées par le gouvernement aux Ehpad prévoient depuis plusieurs mois que les sorties dans les familles et pour des activités extérieures sont suspendues « jusqu’à nouvel ordre » pour les résidents de ces établissements. Or ces restrictions sont contradictoires avec les avantages espérés de la vaccination.
Tous les éléments sont réunis pour aller vers plus d’assouplissements dans les visites et les accès en chambre, et remettre plus de vie et plus de famille dans les résidences. Il serait bienvenue de laisser le soin aux directeur.trice.s le soin de déterminer les conditions de cette ouverture sur le monde. En fait les EHPAD servent d’exemple. A quoi bon d’avoir prôné les vaccinations si elles ne changent pas leur situation ?
Ne pas tenir compte de ces paramètres c’est mettre en doute l’efficacité d’une couverture à plus de 80 % des résident;e.s réputés vulnérables. Au moment où il faut donner des signes forts autour de cette solidarité intergénérationnelle reposant sur le fait que les doses ont été réservées aux plus âgé.e.s il serait malvenu de maintenir des contraintes maximum. La jeunesse souffre beaucoup plus dans le contexte présent.
Lentement le gouvernement fournit des éléments sur des assouplissements potentiels comme s’il fallait laisser tourner la soupape de la cocotte minute. La pandémie est sur la ligne de crête pouvant reconduire vers les sommets ou redescendre dans la vallée. Il est assez significatif que la révolte soit venue des lieux que l’on a longtemps considérés comme les plus dangereux.
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Je partage à 100% ton analyse et tes préconisations et t’envoie des nouvelles de la planète Mars…
Ici Mars ! Je tiens à souligner le scandale du vaccin préconisé aux plus âgés. Notre couple, qui a franchi les 40 rugissants, vient d’entrer dans son 2e mois d’attente…: Le vaccin, « promis/juré », sera pour ce mois de mars. Dès que les nouvelles seront efficaces et bénéfiques, je vous tiendrai au courant de la situation… à condition que COVID nous prête vie !
De Mars à la saint Glinglin, un ami viendra vous voir ce soir… (radio Londres).
De Mars à la saint Glinglin, un ami viendra vous voir ce soir… (radio Londres)
Je ne peux dire à quel point cette évocation m’a ému….
Cette évocation vise à rappeler que « Resistir/Résister » est la seule façon de gagner… « Du ciel à la terre, un ami viendra vous voir ce soir » BBC 1944.
Le gouvernement et les médias nous terrorisent avec ce prétendu coronavirus, pourtant, les « porteurs » sains (99,99 %),
pourquoi ne développent-ils pas la moindre maladie ?
En fait, c’est comme avec la grippe…
si nous sommes en forme et que notre organisme ne souffre pas de pathologies chroniques graves (diabète, obésité, troubles cardiovasculaires, stress social et/ou affectif),
la grippe, nous ne savons même pas ce que c’est….
…la grippe, nous ne savons même pas ce que c’est….
Ça c’est de la chance. !
J’ai attrapé celle de 1957 (l’Asiatique) et j’étais à cette époque un peu plus frétillant que maintenant.
Et j’ai bien cru en crever. Alors que j’étais rarement malade en hiver, pendant plusieurs années j’ai attrapé toutes le saloperies qui passaient.
Ça sent le roussi pour la dictature covidiste : maintenant que tous les chiffres sont disponibles, il apparaît clairement que la légère surmortalité enregistrée en 2020 dans certains pays (pas tous !) ne déroge guère, voire pas du tout à la normale.
Si l’on tient compte de la croissance de la population, de l’ « effet moisson » (décès plus nombreux de personnes vulnérables après deux années de grippe relativement clémente) et surtout du papy-boom (arrivée massive des baby-boomers dans les rangs des seniors), l’année dernière n’a pas été plus meurtrière que certaines autres années des deux dernières décennies.
C’est ce que vient encore de démontrer le Pr Christophe de Brouwer, président honoraire de l’École de Santé Publique de l’Université Libre de Bruxelles, dans une étude à paraître sur Researchgate.
Ce travail met en lumière qu’une fois « standardisées » (c’est-à-dire rendues comparables en intégrant les changements dans la pyramide des âges), les statistiques de mortalité globale pour 2020 n’ont plus rien d’effrayant.
L’excès de décès ne s’est produit qu’au-delà de 65 ans et il y a eu pire que ça depuis le début du siècle. Même chez les octogénaires, les années 2000 et 2005 ont été plus meurtrières !
En conclusion de son analyse, l’éminent scientifique énonce que l’excédent relatif de mortalité « apparaît être avant tout, sinon essentiellement, le reflet du vieillissement de la population , bien plus que le reflet d’un phénomène infectieux particulièrement dangereux. »
Et il ajoute qu’ « une mauvaise gestion sanitaire comme facteur aggravant ne peut être écartée », autrement dit que les morts excédentaires sont peut-être dues aux mesures adoptées par le gouvernement et non à l’épidémie elle-même.
Bien évidemment, les médias mainstream n’ont pas encore moufté et ils observent un mutisme gêné devant cette publication qui contredit la narration officielle.
S’il n’y a même pas eu de pic de mortalité inhabituel, c’est tout le récit politico-médiatico-virocratique qui est bon pour la poubelle…
Oui, je suis entièrement d’accord avec toi. J’ai dû imposer à la cadre, qui ne connaît rien , puisque son expérience professionnelle, était la manip radio, (comme dirait ma fille , on se demande avec qui elle couche pour être à ce poste(Et pourtant ,service public), de voir ma mère dans sa chambre , et non plus 20mn par semaine, sous haute surveillance.D’autant que toutes les chambres ont un accès extérieur par leur porte fenêtre. Bien que pour elle , je pense qu’il va être trop tard….Dépression, idées suicidaires , et confusion.
C’est terrible , après avoir été sous cloche, depuis l’année dernière, et avoir été vaccinée, rien ne change. C’est à se demander si on ne veut pas volontairement éliminer ces vieux, trop nombreux
Je fais partie des privilégiés, j’ai reçu mardi ma deuxième « dose » .
Et comme je faisais part au médecin de service, un vieux de la vieille, lui aussi, qui a repris du service pour l’occasion, de mon dépit de constater la pénurie de vaccin, il m’a fait remarquer, que le vaccin en question, n’existait pratiquement pas à l’état de projet il y a un an.
Pour lui, c’est seulement une vaccination massive qui nous protègera de ce fléau.
Ça n’excuse pas cependant l’impéritie des pouvoirs publics et leur refus d’utiliser certains vaccins, pourtant à l’efficacité reconnue, sous la pression probable de nos « amis « (?) d’outre atlantique .
J.J passe devant Laure alors qu’il est plus jeune ! ! ! C’est un scandale que je ne suis pas prête d’oublier… Mon vaccin ! Mon vaccin ! Mon vaccin ! Peut-être que ça va le faire venir plus vite ! Si tel est le cas, ce sera dû à toutes mes exclamations. Ah! Ah! Ah!
Pour ce qui est d’être plus jeune, je ne sais si la différence est très grande !
Je suis « d’avant guerre », moi aussi.
C’est vraiment par le plus grand des hasards que ma « candidature » a été retenue : je me suis inscrit à tout hasard sur Doctolib, on m’a proposé une date et j’ai accepté.
Les dernières attaques contre l’Ivermectine démontrent de manière spectaculaire les enjeux financiers qui sont derrière le traitement précoce et ambulatoire du covid, et la manière dont on manipule les Français.
Merck a ouvert le bal en dénigrant la molécule qu’il produit, et son communiqué sera mis en avant par tous les journaux et les autorités (on va voir pour l’ANSM) pour justifier une non utilisation.
Le conflit d’intérêt est pourtant trop gros, mais lui ne sera pas mis en avant : le laboratoire développe 2 produits qui pourraient lui rapporter gros, alors que l’Ivermectine, tombée dans le domaine public ne rapporte plus rien.
Si un jour l’Ivermectine devient LE médicament contre le Sars-Cov-2, ce sont des milliards et des milliards de pertes pour l’industrie pharmaceutique mondiale. Avec de telles sommes en jeu, tout sera fait pour que cela n’arrive pas.
On pouvait s’y attendre, le scénario que l’on a vu pour l’Hydroxychloroquine se reproduit…
( Natural News ) L’immunologiste J. Bart Classen prévient que les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna pour COVID-19 peuvent potentiellement provoquer des troubles neurodégénératifs , tels que la maladie d’Alzheimer.
Dans un article publié dans la revue Microbiology & Infectious Diseases , Classen a rapporté que les vaccins à base d’ARNm comme les deux jabs peuvent mal replier les protéines dans le corps qui sont liées au développement de troubles neurodégénératifs.
Risques à long terme des vaccins Pfizer et Moderna
Les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna sont les seuls vaccins pour COVID-19 approuvés pour une utilisation aux États-Unis. Ce sont également les premiers vaccins fabriqués à l’aide de la technologie ARNm à être approuvés pour usage humain.
Les deux jabs fonctionnent en injectant du matériel génétique appelé ARNm qui code pour un fragment critique de la protéine de pointe – la molécule utilisée par SARS-CoV-2, le virus responsable du COVID-19 – pour infecter les cellules humaines. Une fois que ce matériel génétique est à l’intérieur du corps, les cellules musculaires les transforment en protéine de pointe.
Le système immunitaire obtient alors un aperçu de ce à quoi ressemble le vrai virus sans être censé provoquer de maladie. Lorsqu’un individu vacciné est infecté, le système immunitaire libère des anticorps qui peuvent neutraliser le vrai virus et protéger l’individu du COVID-19.
Mais dans son étude, Classen a découvert que les vaccins à ARNm pouvaient favoriser le développement de diverses maladies.
Après avoir échantillonné le vaccin Pfizer-BioNTech et analysé ses séquences d’ARN, il a identifié plusieurs séquences qui peuvent mal replier certaines protéines dans l’organisme. Lorsqu’elles sont mal repliées, ces protéines peuvent potentiellement causer la maladie d’Alzheimer , la sclérose latérale amyotrophique (SLA) et d’autres troubles neurodégénératifs, selon Classen.
Il a également déclaré que les vaccins à base d’ARNm peuvent provoquer plusieurs événements indésirables supplémentaires, tels que des infections plus graves que le COVID-19. Parce que le vaccin place la protéine de pointe à la surface des cellules humaines, selon Classen, il peut servir de récepteur pour d’autres agents pathogènes étrangers.
Les données sur la durée pendant laquelle la protéine de pointe sera présente sur les cellules humaines ne sont pas accessibles au public. (En relation: Pourquoi le CDC retient-il au public des données critiques sur l’innocuité des vaccins covid-19?. )
Classen a également évoqué la possibilité que les jabs Pfizer-BioNTech et Moderna puissent contribuer au diabète. Des études antérieures qu’il a co-rédigées suggèrent que les vaccins peuvent donner lieu à des maladies chroniques, telles que le diabète de type 1, trois à quatre ans après la vaccination.
Classen a conclu que ces risques auraient dû être pris en considération avant d’approuver l’utilisation des deux vaccins, d’autant plus que les vaccins ont été développés sans tests de sécurité à long terme approfondis.
Les vaccins à ARNm peuvent être dangereux à long terme
De nombreux chercheurs ont identifié des risques potentiels à long terme pour les vaccins à base d’ARNm . Selon un article publié en mai de l’année dernière dans la revue Medical Science Monitor , ces risques incluent le développement éventuel de l’auto-immunité (où le système immunitaire attaque les propres tissus de l’organisme) et les effets toxiques des composants des vaccins dont les séquences d’ARN.
Bien que les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna aient déjà été déployés dans de nombreux pays, leurs effets secondaires à long terme ne sont pas encore bien établis. Les effets indésirables dont les experts ont connaissance sont des effets secondaires à court terme.
«Nous connaissons les effets secondaires à court terme, et la grande majorité des effets secondaires après la vaccination surviennent dans les 30 à 40 premiers jours », a déclaré William Moss, directeur exécutif du Centre international d’accès aux vaccins de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health .
Bien que les personnes qui ont participé aux essais cliniques de vaccins aient dépassé ce délai, il est encore trop tôt pour dire quels sont les effets secondaires à long terme des vaccins contre le coronavirus. Un suivi supplémentaire dans les mois et les années à venir est nécessaire pour une meilleure compréhension de leurs risques.
Ces informations ne nous rassurent guère ! Après cette info, ai-je la certitude de vouloir me faire vacciner ? Surtout que si j’attends depuis si longtemps, c’est que je dois être vaccinée avec un des vaccins Pfizer Moderna… Au secours !¡ Socoro !
Bonjour Madame !
Réfléchissez bien, Madame, avant d’opter pour la « came » … surtout si vous n’avez pas de « symptômes de comorbidités » … pas très rassurants !
Pour accompagner votre réflexion, reportez-vous à mon commentaire sur le billet du 1er Mars, en m’évitant ainsi un copier-coller pour l’ensemble des lecteurs que j’invite à vous suivre.
Puisque vous évoquez Radio-Londres, je vous dirai : « Les sanglots longs des violons de l’automne … » ; oui, Madame ainsi que @TUSITULA, le grand jour approche !
Respectueusement.
Peut-être que je vous sauve la vie …
Mais ne me remerciez pas
Je ne cherche que la vérité
et que la lumière éclaire les zones d’ombres
Devant tant de commentaires, tous frappés au coin du bon sens, je m’efface devant le grand Jacques – celui du plat pays et non pas de Corrèze – et son Olympia de 1964 où se côtoyaient « les timides », les bourgeois », « les bigotes », « les bonbons » et même « les toros ». Voici « les vieux »:
« Les vieux ne parlent plus ou alors seulement du bout des yeux/Même riches ils sont pauvres, ils n’ont plus d’illusions et n’ont qu’un coeur pour deux… Les vieux ne rêvent plus, leurs livres s’ensommeillent, leurs pianos sont fermés/Le petit chat est mort, le muscat du dimanche ne les fait plus chanter… »
Voilà, j’ai attrapé le syndrome de Brel!