De ma fenêtre je vois passer des ombres de celles et ceux qui nous avaient promis un « nouveau monde » qui changerait tout du « vieux » réputé totalement dépassé dans ses méthodes et son efficacité. Cette mutation a été entreprise illico par le réformateur en chef qui a vite sombré dans une simple adaptation de ce qui se faisait antérieurement en y ajoutant le vernis d’une communication se voulant la solution aux contestations.
Il a beaucoup cassé, amoindri, réduit en essayant par la privatisation outrancière du service public de détourner vers le « marché » l’essentiel des valeurs républicaines. Cette vision reposant uniquement sur le soutien à la finance, au profit et à des ratios de gestion strictement budgétaires a déçu largement des « soutiens » non idolâtres n’ayant pas souhaité à juste titre voir la France revenir en une période brune de son histoire. La fracture résultant de cette idéologie est désormais un précipice qui s’aggrave chaque jour.
Lors de son monologue devant quelques journalistes le Premier des Ministres a eu une phrase extrêmement vraiE et que nous sommes peut-être nombreux à espérer voir se transformer en réalité. “Notre vie, à partir du 11 mai, ce ne sera pas exactement la vie d’avant le confinement”, a souligné Édouard Philippe. En tout cas, “pas tout de suite et probablement pas avant longtemps. » S’il évoquait les modes de vie on ne peut être que d’accord avec lui. Il serait cependant heureux que ces propos s’appliquent aussi à la politique.
Il est à craindre justement que la tentation des déconfinés soit simplement très forte de reprendre exactement « comme avant » et de ne pas s’intéresser aux fondamentaux de la vie collective. Samedi matin une dame d’un certain âge achetait par exemple devant moi, deux bouteilles de champagne et un énorme gâteau pour, affirma-t-elle, se rendre à l’anniversaire d’une nièce à quelques dizaines de kilomètres. Qu’en sera-t-il après le 11 mai, date pivot ressemblant étrangement à l’âge fixé pour la retraite à points et dont on connaît le sort ?
Le Ministre des Armées y est aussi allé de son appréciation sur ce sujet : « Ma crainte, c’est que le monde d’après ressemble au monde d’avant, mais en pire ». Il ne parlait pas bien évidemment de la France mais des relations mondiales avec une forte tension sino-américaine qui nécesiterait (vœu pieu) une montée en puissance de l’Europe. Ces déclarations réalistes s’ajoutant aux précédentes alarmistes préparent selon la tournure des événements une stratégie nouvelle en matière de politique…française.
Lentement, annonce après annonce, le terrain est préparé pour une tentative à moins de deux ans des présidentielles et compte-tenu des mesures dramatiques à assumer, de former « un gouvernement d’union nationale » comme ce fut le cas après la dernière guerre mondiale. L’échec patent de la politique gouvernementale, LREM ne peut pas espérer un sursaut électoral en 2021 lors des échéances électorales prévues. On va donc sauter toutes les étapes en se focalisant sur les présidentielles. Il faut donc effacer les erreurs et faire cautionner un changement de cap.
Pour reconstruire une société on n’échappera pas pourtant à une refondation de la Politique. La crise du Covid-19 va détruire en effet durablement tous les repères antérieurs dans ce domaine. C’est une certitude ! Seuls les personnalités qui sauront devenir résilientes survivront au raz-de-marée qui s’annonce.
D’abord il leur doivent rapidement s’impliquer dans les divers volets de la crise. Ensuite, il faudra faire admettre au système social que les paradigmes ne seront jamais plus les mêmes et en inventer de nouveaux. Enfin le plus dur résidera dans le besoin de créer d’urgence des nouvelles structures politiques supports de leur action car elles n’auront pas survécu à la destruction dangereuse de la confiance dans des instances il est vrai passablement discréditées.
Les idées résilientes ont toutes, absolument toutes été sur la table lors des dernières échéances nationales mais elles ont été balayées par une opinion publique croyant que la reconstitution de services publics, la solidarité humaine réelle, la décentralisation effective, la mise en place d’une citoyenneté active, la protection accélérée de la planète, l’équité sociale, l’autonomie alimentaire… étaient moins importantes que la croissance salvatrice, la baisse d’une participation financière juste à la vie collective, la loi du marché mondial et l’enrichissement personnel.
L’effondrement financier qui touchera très fortement l’État et les collectivités territoriales (surtout les Départements) contraindra à ne pas rêver et à faire profil bas dans les promesses. Il n’y aurait pas de plus grave erreur pour la démocratie que de prolonger l’illusion d’un « nouveau nouveau monde » reposant sur les valeurs de « l’ancien nouveau monde ». Une profonde (r)évolution sociale, culturelle et citoyenne s’imposera. Mais… de ma fenêtre mon horizon est limité !
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« Il faut donc effacer les erreurs et faire cautionner un changement de cap. »
Dans les cas où la déclaration de celui qui semble être un modèle pour notre inconsistant bavard présidentiel se révélerait vrai (les français ont la mémoire courte), ça marchera.
Sinon , les citoyens lucides et responsables n’oublieront pas les « carabistouilles « que l’on a essayé de nous vendre.
Ce n’est pas le discours de haine obtus et irresponsable (« inconsistant bavard etc.. ») qui rendra le monde de demain meilleur, on a là un exemple flagrant.
Le monde de demain ? le même qu’aujourd’hui en pire…
L’homme étant ce qu’il est depuis la nuit des temps quand il fracassait la tête du voisin pour lui voler sa nourriture ou sa compagne, nous allons assister dès le 11 mai à une explosion d’individualisme.
Les 1% de la population qui possèdent 90% de la richesse mondiale continueront comme si il ne s’était rien passé, la fraude aux aides de l’état ou à l’assurance ou tout simplement fiscale va encore s’amplifier ; le but? profiter le plus en payant le moins.
Qui peut croire que dans le monde de Trump ou de Li Kequiang (1er ministre de la Chine) on se préoccupe de la planète ou des pauvres ?
L’argent et la possession gouvernent le monde depuis la nuit des temps et ce n’est pas prêt de changer.
Alors, bien sûr, chacun peut faire un petit effort pour s’intéresser à son voisin.
Mais croyez-vous que le viticulteur qui traite sa vigne au milieu des maisons à 6 heures du matin un dimanche, ou celui qui détourne un ruisseau pour creuser un étang inutile, ou le motard qui circule toute la nuit avec un engin plus que bruyant, ou le trafiquant qui assassine la jeunesse avec sa drogue de m…., ou le politicien qui entourloupe le peuple avec son discours d’un autre temps en encourageant de pauvres hères à bloquer des ronds-points en leur faisant croire que cela suffit pour changer le monde, croyez-vous que tous ces gens pensent à un monde meilleur ? Non ils n’ont qu’une préoccupation : eux-mêmes.
Donc demain rien de nouveau et cette société c’est nous, la génération des baby-boomers, qui l’avons crée, alors on peut toujours rêver à un monde meilleur…
Nous ne sommes pas au pays de « bisounours », … le politicien qui entourloupe le peuple avec son discours d’un autre temps ….songe surtout à conserver ses privilèges et ceux des représentants des forces obscures qui l’on « fait roi » , le cas échéant en le faisant matraquer, si besoin, par sa milice de mercenaires obtus.
EXTRAIT DE LIBERATION
«Aux alentours du 11 mai, l’épidémie sera toujours là» *
Par Olivier Monod — 19 avril 2020 à 11:12
/«Endiguement» ou «atténuation» ? Trois membres du laboratoire de
recherche Mivegec, à Montpellier, expliquent à «Libération» les
différentes stratégies qui s’offrent au gouvernement pour gérer le
déconfinement. //Depuis le début de la crise du Covid-19, ils publient
des rapports et même un simulateur sur l’évolution de l’épidémie. Taux
de reproduction, pic épidémique, rebond épidémique, l’équipe évolution
théorique expérimentale du laboratoire Mivegec à Montpellier est à la
pointe, en France, de la modélisation épidémiologique de la crise du
Sars-Cov-2. /
La date du 11 mai est-elle une bonne date pour envisager le
déconfinement ? A combien de morts peut-on s’attendre, au pire ? Comment
se gère un déconfinement ? Trois membres de l’équipe, Samuel Alizon,
Yannis Michalakis et Mircea T. Sofonea ont répondu ensemble aux
questions de Libération sur l’après-confinement.
*Quelles sont les stratégies possibles postconfinement ? **
*Pour sortir de la crise, vous avez grosso modo deux stratégies. Soit
«endiguer» l’épidémie en attendant de découvrir un traitement efficace
ou un vaccin. Cela nécessite un contrôle très strict de l’épidémie qui
mobilise toute la population et qui peut prendre différentes formes. En
France c’est le confinement, alors qu’en Corée du Sud c’est un dépistage
massif, avec l’identification des personnes contaminées, leur isolement
et l’information rapide de leurs contacts.
La seconde stratégie, qu’on peut qualifier «d’atténuation», est de
construire une immunité collective en laissant se propager l’épidémie
tout en la contrôlant. Elle est mise en œuvre en Suède . Cela augmente
très fortement les inégalités puisque les personnes les plus fragiles
doivent être plus fortement protégées que dans une stratégie
d’endiguement afin d’empêcher un très grand nombre de décès.
*Comment choisir entre les deux stratégies ? **
*Chaque option a ses avantages et ses inconvénients. L’atténuation
permet d’avoir des mesures de contrôle moins strictes pour une partie de
la population et est moins coûteuse. Toutefois, elle peut causer une
mortalité non négligeable. Elle est difficile à mettre en place et
expose à nouveau les services de réanimation au risque de saturation.
L’endiguement minimise les décès liés au Covid-19 mais est une stratégie
coûteuse, en particulier les confinements. Elle impose aussi une
surveillance intensive à la population et une microgestion sanitaire sur
de longs mois.
Chaque option repose sur un pari distinct : l’atténuation mise sur une
durée assez longue de l’immunité naturelle, tandis que l’endiguement
mise sur la découverte et le déploiement rapides d’une solution
pharmaceutique. L’endiguement mise aussi sur une adhésion et une
discipline forte de la population, et un faible nombre d’erreurs
techniques (par exemple les non-détections de cas).
On peut ensuite affiner ces stratégies. Par exemple, il est possible de
varier les périodes de contrôle intense et les périodes de contrôle plus
relâché. Il est aussi possible d’adopter des mesures différentes selon
la sensibilité des personnes, voire de renforcer localement les
restrictions lorsque l’approche d’un rebond épidémique est détectée.
*Est-ce que la date du 11 mai pour le déconfinement est cohérente avec
vos modélisations ? **
*La réponse dépend beaucoup de l’orientation choisie : endiguement ou
atténuation ? Le discours du Président comporte des éléments qui font en
sorte qu’on y retrouve un peu les deux options. Il y a aussi des
paramètres de terrain à prendre en compte, notamment que les services de
réanimation dans les régions les plus touchées puissent souffler.
Ce que nos modèles prédisent, c’est qu’aux alentours du 11 mai, le
nombre de décès liés au Covid-19 sera plus faible, mais l’épidémie sera
toujours là avec encore plus de 1 000 patients toujours en réanimation.
De même pour les hospitalisations et les admissions en réanimation. Dans
une optique d’endiguement, une date tardive est cohérente, mais la
réouverture des écoles interroge. Dans une optique d’atténuation, c’est
le maintien d’un confinement dans les départements encore peu exposés au
Covid-19 qui interroge. Le maintien de la fermeture des universités
aussi. On estime à moins de 10% le taux de la population française
infectées et pourtant on a saturé les hôpitaux de trois régions.
*Un rebond épidémique serait-il plus ou moins fort que la première vague
? **
*L’ampleur du rebond épidémique dépend des mesures de contrôle
maintenues et des différences géographiques (les endroits les moins
touchés s’exposent à un plus grand pic). En simplifiant à l’extrême, si
vous relâchez toute espèce de contrôle, un simple calcul vous montre que
le pic épidémique ne sera atteint qu’une fois que la seconde vague aura
touché 50% de la population. En revanche, si vous maintenez un contrôle
qui divise par deux la propagation du virus, ce qui n’est pas rien car
on estime que le confinement actuel ne le divise que par quatre, alors
ce second pic serait de 25% ; ce qui reste deux fois plus important que
ce que nous venons de vivre.
*Quelles sont les données encore inconnues sur cette maladie ? (Taux
d’asymptomatiques, rôle des enfants…) **
*Les plus grandes inconnues concernent la dimension sociale et la
dimension immunologique de l’infection. Ainsi, les durées d’incubation
et la proportion des infections qui sont sévères sont assez bien
connues. Pour la létalité, on dispose de données solides mais pour
l’Asie uniquement. On connaît encore moins le temps de génération de
l’épidémie, c’est-à-dire le nombre de jours qui séparent le moment où
une personne est infectée et le moment où elle infecte quelqu’un
d’autre. Il est aussi difficile d’estimer les effets des mesures de
contrôle sur l’épidémie. Quand, par exemple, les annonces de confinement
conduisent à des départs précipités. Ces données sont profondément liées
à la société dans laquelle l’épidémie se propage et pour le moment
toutes les données que nous pouvons exploiter proviennent d’Asie.
Au niveau immunologique, les questions clés sont liées à la virulence de
l’infection, qui provient avant tout d’un emballement de la réponse
immunitaire, de la tolérance des enfants à l’infection, et aussi des
différences entre sexes. Sans parler évidemment de la durée de
protection conférée par l’immunité naturelle pour les personnes guéries,
sur laquelle on manque encore d’éléments pour se prononcer.
*Pourtant, Jean-François Delfraissy affirmait que l’immunité conférée
est absente ou très courte. Pourquoi ? **
*On sait que pour le Sras de 2003, les anticorps disparaissent au bout
de deux ans. Pour le Sars-CoV-2, rien n’est encore définitif dans la
littérature pour le moment. On trouve des descriptions de personnes qui
semblent avoir été infectées deux fois. Je pense notamment à 140 cas en
Corée du Sud. Mais il est encore trop tôt pour tirer une conclusion
définitive sur le sujet.
*Faudrait-il effectuer de larges campagnes de tests en France pour
accompagner le déconfinement ? **
*Il faut distinguer les tests de dépistage, qui permettent de savoir si
une personne est infectieuse, et les tests de sérologie, qui permettent
de savoir si une personne a été infectée et est immunisée.
Quelle que soit la stratégie postconfinement, endiguement ou
atténuation, les tests de dépistage sont essentiels. Il ne s’agit pas de
tester l’ensemble de la population, mais plutôt les personnes ayant été
exposées afin d’enrayer la propagation de l’épidémie (pour
l’endiguement) ou de détecter des accélérations de l’épidémie (pour
l’atténuation).
A ce stade, les sérologies sont moins utiles à un niveau populationnel
car on estime que moins de 10% de la population a été infectée. En
revanche, ces tests sont essentiels pour les individus en contact avec
des personnes plus fragiles.
*De quels tests avez-vous besoin pour améliorer les modèles ? **
*Le dépistage sérologique d’un échantillon de 10 000 individus
représentatif de la population permettrait de connaître la
séroprévalence, c’est-à-dire la proportion de la population ayant déjà
rencontré le virus, à 1% près. Cette information serait effectivement
précieuse à moyen terme pour ajuster les courbes d’incidence de nos
modèles et mieux cerner certains paramètres clés comme la létalité
effective du Covid-19 en France. Mais pour le moment, la séroprévalence
est faible donc jouera a priori un faible rôle au niveau populationnel.
A ce stade, des données plus précieuses pourraient être obtenues par les
suivis de contact.
*Si on laisse l’épidémie monter tranquillement jusqu’à 60% d’infectés
dans la population française, combien peut-on attendre de morts ? **
*Le scénario catastrophe est assez trivial à calculer puisque avec un
taux de létalité qui se situe à 1% en moyenne, si vous ne prenez
strictement aucune mesure de contrôle (vous abandonnez même les gestes
barrière) vous pouvez craindre de l’ordre de 600 000 décès dont plus de
90% toucheraient des personnes de plus de 50 ans. On peut même noircir
le trait car les services d’urgence et de réanimation étant saturés, le
taux de létalité pourrait être plus élevé.
Mais il existe des moyens d’atteindre ce seuil de 60% pour l’immunité de
groupe en minimisant fortement le nombre de décès. Ainsi, si vous
empêchez les infections chez les plus de 50 ans, le nombre de décès
tombe à moins de 40 000. Cela reste très élevé et aussi, affecte une
tranche d’âge plus jeune. En plus, d’un point de vue pratique, cela
semble irréaliste car il faudrait diviser la transmission envers les
plus de 50 ans par 10, soit trois fois plus que le confinement actuel.
Là encore, on en revient à la stratégie choisie. Avec l’endiguement et
l’attente d’un vaccin ou d’un traitement, vous avez moins de morts liés
au Covid-19 mais vous imposez à la population un contrôle strict de
l’épidémie potentiellement traumatisant comme on le voit avec le
confinement. Avec l’atténuation, vous avez plus de décès (beaucoup plus
si les plus de 50 ans ne sont pas plus protégés que la moyenne) mais les
mesures de contrôle sont moins violentes pour une partie de la population.
C’est un choix politique à faire.
Et si, au lieu de se torturer les boyaux de la tête à chercher des stratégies plus fumeuse les unes que les autres, on essayait honnêtement et on utilisait des médicaments qui ne sont certes peut être pas une panacée, mais qui ne sont ni plus ni moins dangereux que n’importe quel autre médicament ?
Exemple : La chloroquine(un exemple entre autres) est utilisée depuis des décennies dans le traitement de maladies ( paludisme, polyarthrite rhumatismale etc) avec les précautions qui s’imposent, et sans inconvénients majeurs contrairement à ce que ‘on nous raconte.
Alors pourquoi ?
– Ah oui, c’est vrai, j’oubliais, ça ne rapporterait pas assez et le Dr Raoult a vraiment les cheveux trop longs !
….notre inconsistant bavard présidentiel…. on peut ajouter légal mais illégitime(environ 15 0/0 du corps électoral).
27 minutes pour nous annoncer en conclusion que le déconfinement aurait peut être( !) lieu le 11 mai, ce n’est pas un bavardage inconsistant ?
On peut aussi employer le terme de logorrhée, ça fait plus chic.
Jean-Marie, comme beaucoup (dont je suis avant de me reprendre), tu voudrais que Le Drian soit encore Ministre des Armées…
Personnellement , j’ ai décroché du discours d’ Edouard Philippe assez vite , quand on a rien à dire , il faut mieux se taire .
En dix minutes c’ aurait du être plié .
Quand on pense que des communicants sont payés très cher pour le conseiller !!!!! m’ enfin .
Et pour le nouveau monde , j’ ai une vision très pessimiste de la chose , on utilise peu la marche arrière en général …
https://www.youtube.com/watch?v=O0NUFPT7rag
Cordialement.
A propos de stratégie fumeuse, je souhaite à nos papys scribouilleurs de ne pas faire partie des dizaines de milliers de victimes à venir après le déconfinement.
A propos de scribouilleur il existe une touche % sur tous les ordinateurs…
Bonsoir,
J’adore les échanges entre Philippe CONCHOU et J.J.
Merci aux papys scribouilleurs d’occuper une partie de mon temps libre à vous lire.
Bonne soirée, à demain.