Le jour où le crime est imputé à un travesti (5)
Deux habitants dignes de confiance domiciliés dans la commune ont en effet été raconter à la Brigade de gendarmerie une drôle d’histoire. Ils auraient vu dans la nuit du 23 au 24 septembre « une femme rentrer chez elle vers une heure trente du matin ! » La chose leur parut normale et ils n’y virent aucune raison d’alerter la Brigade du Tigre. Au hasard d’une conversation avec les représentants de la maréchaussée locale ils apprirent pourtant que la dame avait déclaré lors des enquêtes de proximité « qu’elle se trouvait chez elle à partir de sept heures du soir et qu’elle dormait d’un paisible sommeil à une heure et demie ». Étrange.