Dépêchez vous à croire au père Noël ça ne va pas durer
Nous voici à un mois de Noël. Le moment de commencer à croire dans une période permettant de rêver à des jours meilleurs puisque arrivera ensuite les semaines durant lesquelles…
Nous voici à un mois de Noël. Le moment de commencer à croire dans une période permettant de rêver à des jours meilleurs puisque arrivera ensuite les semaines durant lesquelles…
La fameuse croissance qui dope les rentrées fiscales indirectes a été placée sur un piédestal et a servi à piller la planète, à détruire la confiance et plus encore à creuser des inégalités dangereuses. Le gouvernement cherche donc des sorties discrètes du système mais ne parviendra pas à obtenir des soutiens pour déroger à cette doxa économico-politique.
Les feuilles d’imposition sur les propriétés bâties et le foncier non bâti accompagnées de l’appel à payer la Taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM) arrivent dans quelques jours dans tous les foyers français. Nous aurons droit au grand cinéma médiatique sur les augmentations en pourcentage avec la mise à l’index des Maires et des Présidents de structures gérant l’enlèvement et le traitement des déchets ménagers. C’est aussi vieux que l’existence des impôts dits locaux.
Durant la quinzaine qui s’ouvre la presse quotidienne régionale (quand elle rend compte des conseils de tous niveaux) va titrer triomphalement « pas d’augmentation des impôts » dans 80 % des cas.
Partout en Europe la crise de la production agricole menace. Le début d'une révolte plus large qu'il sera difficile de maîtriser
Comment à la fois dresser l’opinion dominante contre des mesures de protection de l’environnement et la précipiter dans les bras du populisme ? Il suffit de prendre à Paris une…
Il faut absolument pour le gouvernement maintenir au minimum le niveau de consommation et même vite le développer pour sauver les meubles
Tous les signaux sont à l'orange ou au rouge. Les fractures s'accentuent dans le pays.
Pendant ce temps la France s’enfonce au plan international payant des prises de position « au-dessus de ses moyens ». Nul ne saurait honnêtement prétendre que nous ne plions pas bagages en Afrique de notre propre volonté. Burkina, Mali, Niger : nous nous retirons ce que je ne saurai critiquer mais ça prend des allures de "retraite" car chaque fois le Chef de notre État a voulu rouler des mécaniques du genre « retenez-moi où je vais faire un malheur ! » crispant une situation déjà tendue et fragile avant de reculer.