Une gestion de la Sécurité sociale très défaillante
Pour bien des citoyens-consommateurs la sécurité sociale ne comprend que le volet de l’assurance maladie. Or depuis sa création e 4 octobre 1945, par le Gouvernement provisoire de la République…
Pour bien des citoyens-consommateurs la sécurité sociale ne comprend que le volet de l’assurance maladie. Or depuis sa création e 4 octobre 1945, par le Gouvernement provisoire de la République…
Il ne fallait pas être un éminent politologue pour prévoir le résultat du premier tour des élections législatives. Il suffisait d’aller sur le terrain, d’écouter, de ressentir une situation démocratiquement insurrectionnelle. Dire que l’auteur de gâchis annonçait une « guerre civile » alors qu’il est totalement incapable de comprendre qu’elle est déjà là.
Jamais cette méthode citoyenne de gestion n’a été autant d’actualité dans une période où le monde du profit dénie toute référence humaniste et où la réponse aux besoins essentiels ne peut plus être prise en charge par des États affaiblis, surendettés et exsangues. C’est dans les crises que sont nées les meilleures réponses gérées par les citoyens pour faire face aux exigences de la solidarité active.
Jamais le masque n'aura été aussi présent dans une société se prétendant ouverte et directe. Il a occupé depuis deux ans le devant des visages et celui de la scène de l'actualité. Pas un jour depuis les débuts de la crise sanitaire sans qu'il soit modifié, refusé, exigé, calomnié, enlevé, remis totalement ou partiellement en attendant d'être définitivement ôté.
Les accusations en tous genres pèsent sur les personnes bénéficiant dans notre pays des aides institutionnelles. Illico quand sont abordés les allocations individuelles de solidarité surgit le fantôme de la fraude. Bien entendu elle serait l'apanage des étrangers qui coûterait un pognon de dingue au budget de l'Etat
Plus de 150 communes avaient décidé d'elles-mêmes de mettre en place des interdictions de circuler ou de sortir lors du dernier confinement mais Paris n'avait pas connu pareille obligation depuis l'Occupation. Le paradoxe c'est qu'en pleine guerre il était moins restrictif que celui qui vient d'être annoncé puisqu'il débutait à minuit et s'achevait à six heures du matin.
Le gouvernement a adopté la technique des disc-jockeys que l'on voit œuvrer dans les boites de nuit ou lors de ces grandes soirées où la musique électronique déferle sans retenue. Il a devant lui une table de mixage avec plusieurs curseurs qu'il faut pousser vers un niveau plus élevé ou baisser au gré des circonstances.
ans un contexte général de baisse des dotations de fonctionnement aux communes ou intercommunalités et la demande de plus en plus forte des services de proximité il devient en effet indispensable d'inventer des nouvelles relations autour du pouvoir local.
Acceptez cette « rétro » très personnelle comme un jeu et n’y cherchez pas d’autre arrière-pensée que celle qui m’anime sur Roue Libre : me faire plaisir en revenant sur…