Les signatures des parrains feront l’élection présidentielle
Lors de échéances antérieures un élément de la mise en place officielle des candidatures a joué un rôle essentiel : la quête des signatures des élu.e.s pour arriver aux 500 nécessaires.
Lors de échéances antérieures un élément de la mise en place officielle des candidatures a joué un rôle essentiel : la quête des signatures des élu.e.s pour arriver aux 500 nécessaires.
Personnellement je ne désespérerai jamais de la citoyenneté et de la capacité de convaincre autour de valeurs (1). C'est en y renonçant que l'on ouvre la porte aux échecs les plus retentissants (cf 2002) et je vais donc tenter dans les prochaines semaines via ces chroniques et par tous les moyens dont je dispose de me battre afin d'éviter que cette élection ne devienne qu'un avant-goût amer de l'échéance de 2022 ! Le combat est inégal mais selon Voltaire : « souvent le désespoir a gagné des batailles ».
La France a besoin d'être rassurée, apaisée et n'aspire plus aux réformes bouleversant ses repères et les fondamentaux républicains. Pour reprendre une formule célèbre, elle aspire au « changement dans la continuité » et plus nécessairement à « la continuité du changement ».
Comment appelle-t-on le système qui conduit une structure ou une personne à contracter un emprunt... pour parvenir à rembourser un emprunt antérieur ? A priori des femmes et des hommes politiques englués dans des procédures judiciaires liés à des détournements de fonds publics, dépensant de l'argent qu'ils n'ont pas, trafiquant avec les textes sur le financement de leurs actions électorales peuvent se permettre de faire de « la cavalerie ».
La stratégie des triangulaires assurées a vite été décodée au sein des maires du camp Les Républicains alors qu'elle ne semble pas avoir encore effleuré l'esprit des élu(e)s de Gauche.
Ce sera le samedi des couleurs ! Les gilets "jaunes" qui prennent sous ce quinquennat la suite des bonnets "rouges" du précédent vont probablement faire passer une journée "noire" aux pouvoirs…