Un lien fragile avec l’Italie vient de se rompre…
La nouvelle est arrivée en ce matin de Pâques. Elle venait de la banlieue milanaise, là-bas où vit la branche diverse et florissante des Darmian montés un jour à la…
La nouvelle est arrivée en ce matin de Pâques. Elle venait de la banlieue milanaise, là-bas où vit la branche diverse et florissante des Darmian montés un jour à la…
J’en ai déniché un à Ars en Ré sur des quais parfois pavés par l’enfer de plus en plus grandissant du tourisme de masse. Il faut en faire abstraction en poussant la porte aux heures creuses de la journée où lors des soirées délaissées par les familles en quête de sortie « burgers », « galettes » ou « pizzas ». Il faut alors respirer un grand coup de silence, observer des espèces en voie de disparition ou se délecter de la part réservée aux démons de la plus sérieuse des discussions celle des comptoirs.
Événement exceptionnel : le Président est entré dans un bar-tabac-presse d’un village lambda (ou presque) sur le chemin du retour d’une visite chez des agriculteurs.
Le restaurant « Aux pieds sous la table » dans un quartier proche de la faculté du Capitole à Toulouse offre un cadre original et bien sympa. D'un bon rapport qualité-prix le menu du jour a tout pour satisfaire un adepte des bonnes tables simples et goûteuses. Au moment d'aborder le choix du vin, la lecture de la carte réserve une mauvaise surprise aux Bordelais de passage : pas une offre de vin de Bordeaux !
Figurez vous qu'il fut un temps que les moins de quarante ans ne peuvent pas connaître où on mangeait à... la cantine avec les copains et les copines !
Surveillées par les comptables de la fameuse Cour ses dépenses ne peuvent pas exploser comme celles de l’État. Il faut donc tout surveiller et économiser tout ce qui peut l'être. Une démarche qui a porté ses fruits puisque le constat heureux est tombé : un million de crédits non consommés sur l'année écoulée.
Avez-vous remarqué qu'en période de confinement tous les jours se ressemblent ? Un dimanche n'est guère différent d'un lundi et un mercredi ne se distingue plus d'un samedi. On les enfile comme des perles similaires sur le fil du temps. Aucun d'eux n'est plus précieux ou plus important que l'autre et seuls des détails changent vraiment le cours des journées.
Lorsque vous voulez vraiment connaître les petits secrets de la vie publique nationale il faut connaître les restaurants pour le déjeuner et ceux pour dîner où les Députés ont leurs habitudes. Il suffit d'avoir des yeux éveillés et des oreilles grandes ouvertes pour surprendre des rencontres ou des discussions instructives. Il est vraiment difficile de savoir si les personnalités qui s'y installent veulent vraiment garder le secret sur leurs fréquentations.
(...) De tous les responsables présents représentants les commissions des jeunes du SNI j'étais visiblement le bizut et donc j'écoutais autour de la table avec respect les commentaires élogieux de l'intervention de Michel Bouchareissas précédant celle d'André Ourliac, énergique secrétaire général audois à l'accent rocailleux. Vint alors le moment de commander. L'ambiance était au top.