Eté ou pas été : la panne qui change tout
Depuis hier matin après une longue période de doute sur moi-même je suis à nouveau plongé dans la grisaille de l’impuissance face aux événements extérieurs. Je ne souffre pas l’impuissance face à ce que je n’arrive pas à comprendre et à résoudre. Je me débats face à la technologie avec une frénésie aussi inutile que dangereuse. Écrire six jours sur sept une chronique n’a d’intérêt que si elle lue. Or sans que je puisse en connaître la raison le système d’envoi de la lettre d’annonce de la parution ne fonctionne plus.