A chacun son intérêt personnel dans la censure
S’il est un mot qui ne convient pas en République, c’est bien celui de « censure ». On oublie trop vite qu’il est contraire au triptyque inscrit sur le frontispice des bâtiments…
S’il est un mot qui ne convient pas en République, c’est bien celui de « censure ». On oublie trop vite qu’il est contraire au triptyque inscrit sur le frontispice des bâtiments…
Le week-end dernier, le hasard des calendriers sportifs a permis de vérifier le niveau des rapports entre les deux grands sports français : le rugby et le football ! La télévision a…
La large victoire de Trump semble digérée par la majorité de la nation américaine. La réception du vainqueur par le partant qui l’a bien aidé en oubliant qu’un mandat électif…
Rentrée… le mot lui-même n’appartient pas à ceux que préfère une majorité de personnes. C’est le signe pour ce qui reste une minorité à la réalité, à un rythme oppressant…
Le personnel politique installé à la tête des partis constitue une « ethnie » particulière dont les coutumes et les attitudes variables diffèrent totalement de celles de ce que certains appellent encore le peuple. Il passe son temps à décevoir, à trahir, à renoncer au nom du principe éternel voulant que ses intérêts individuels constituent selon lui, l’intérêt collectif.
Les guerres se gagnent aussi par des stratégies de communication et par une utilisation opportune des opinions publiques. Alors que l’armée israélienne se prépare à envahir après un pilonnage en règle de la partie est de Rafah, les Russes lancent une offensive que bien des observateurs avaient prévue. Une manœuvre extrêmement habile car elle se cale sur la vaste polémique provoquée par l’attaque de Tsahal et donc place son annéantissement méthodique de Kharkiv en second voire en troisième rang de la hiérarchie de l’information.
Probablement jamais le fameux proverbe chinois voulant que « quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt... » n’a jamais été aussi utile en politique française. Ce détournement de l’attention citoyenne pour des sujets subalternes vire à la stratégie permanente grâce à la complicité médiatique de grands supports spécialisés dans l’exploitation du moindre brin d’information dont se repaît l’opinion dominante.
Peur de l’autre, quel qu’il soit, son voisin dont on se méfie ou de l’immigré que l’on n’a jamais vu et que l’on ne sait rien. Peur de la guerre dont on entretient la perspective pour tenter de rassembler autour d'un réflexe d’autodéfense. Peur de manquer de tout : eau, nourriture, carburant, nature, argent et d’être privé de ce que l’on a. Peur de la maladie dans un système de santé en déliquescence. Peur de la dépendance sous toutes ses formes. Peur du déclassement social. Le parti de la peur gagnera toutes les élections : sa puissance est irrésistible.
la vérité oblige à admettre que ce n’est pas le Parlement qui constitue l’épine dorsale de la construction européenne mais… la composition de la Commission. Et là quel que soit le résultat de l’expression démocratique elle n’en dépend pas. Les grandes manœuvres ont donc débuté ! Les chefs des états ont entamé discrètement les palabres pour se répartir les postes de Commissaires.