L’escalator vers le populisme du « Schtrump démago »
Affligeant ! Désastreux ! Démoralisant ! Angoissant ! L’Organisation des Nations Unies qualifiée dans un discours du 10 septembre 1960 à Nantes par de Gaulle de « machin » n’a…
Affligeant ! Désastreux ! Démoralisant ! Angoissant ! L’Organisation des Nations Unies qualifiée dans un discours du 10 septembre 1960 à Nantes par de Gaulle de « machin » n’a…
L’autoroute A69, entre Toulouse et Castres, a été « déclaré d’utilité publique en 2018 et bénéficie d’un large soutien local de la part des élus, des habitants et des acteurs économiques », a déclaré…
Il est étonnant alors que les révélations se succèdent sur l’obstination des gouvernants passés que pas un seul groupe parlementaire n’ait posé le principe d’une commission d’enquête sur le fonctionnement de Bercy. Probablement que la raison essentielle en est que ce type de méthode d’évaluation mettrait en cause le fonctionnement même de l’État. Depuis l’automne dernier, des notes confidentielles de Bercy alertaient en effet sur l’état des finances publiques.
Le juge Lanoire clôtura donc, faute de preuves, le supplément d’information ce qui eut pour conséquence de boucler définitivement l’affaire de l’assassinat de Pierre Teillet le 24 juin 1922. Le « cold-case » créonnais restait toujours un mystère. La stèle dédiée au commissionnaire devint à Sadirac dans le récit de tous les jours durant un siècle, « la pierre du crime »
Deux habitants dignes de confiance domiciliés dans la commune ont en effet été raconter à la Brigade de gendarmerie une drôle d’histoire. Ils auraient vu dans la nuit du 23 au 24 septembre « une femme rentrer chez elle vers une heure trente du matin ! » La chose leur parut normale et ils n’y virent aucune raison d’alerter la Brigade du Tigre. Au hasard d’une conversation avec les représentants de la maréchaussée locale ils apprirent pourtant que la dame avait déclaré lors des enquêtes de proximité « qu’elle se trouvait chez elle à partir de sept heures du soir et qu’elle dormait d’un paisible sommeil à une heure et demie ». Étrange.
Dans le nuit au 24 au 25 septembre l’estimé commissionnaire créonnais Pierre Teillet était lâchement assassiné au lieu-dit Bel air sur la route entre Créon et le village de Lorient…
La déception a été grande dans le sphères exploitant tous les drames de la vie sociale pour leur business politicien. Ils guettent avec une impatience épouvantable que le crime soit vite attribué à un « terroriste » potentiel. Il arrive même souvent qu’avant même que les représentants de la justice se prononcent grâce aux réseaux sociaux ils aient eux-mêmes défini la qualification de l’acte irréparable et dramatique dont on parle.
Alors je comprends le désespoir du Maire de Saint-Brévin. Je le vis. Je le partage. Je ne me marre même pas des énièmes engagements, des sempiternelles déclarations de compassion, de la litanie des soutiens. Encore une fois on s’offusque. Encore une fois on s’indigne. Encore une fois on prépare des textes qui vont s’empiler sur des textes jamais appliqués.
ur l’écran noir de ma nuit blanche est apparue une interrogation susceptible de tarauder toutes les « truies » qui doutent : « suis-je un beauf pour être allé passer encore une journée avec les chasseurs dans une palombière ? » Mon souci de la transparence et du parler-vrai m’interdisent de me dérober à mes responsabilités. Vais-je être voué aux gémonies par les défenseurs attitrés des pigeons ramiers ? Puis-je espérer échapper à la honte d’avoir laissé tirer sur des « migrants » empruntant les voies célestes alors qu’ils retournent au pays ?