Aucun doute : « j’y suis, j’y reste ! »
« J’y suis, j’y reste » c’est le leitmotiv de la déclaration de celui qui devient de moins en mois le maître des horloges politiques françaises. Il s’est campé devant la caméra…
« J’y suis, j’y reste » c’est le leitmotiv de la déclaration de celui qui devient de moins en mois le maître des horloges politiques françaises. Il s’est campé devant la caméra…
Quelqu’un peut-il m’expliquer en quoi l’aller-retour de l’avion présidentiel entre Paris et Nouméa était indispensable ? Lorsque le Président remettra les pieds sur le sol de la métropole quelle aura été la plus-value politique de ce déplacement effectué dans la hâte et avec une solennité aberrante ? Bien entendu le Président express a bombé le torse pour répéter qu’il s’agissait avant tout de rétablir « l’ordre républicain ».
Les guerres se gagnent aussi par des stratégies de communication et par une utilisation opportune des opinions publiques. Alors que l’armée israélienne se prépare à envahir après un pilonnage en règle de la partie est de Rafah, les Russes lancent une offensive que bien des observateurs avaient prévue. Une manœuvre extrêmement habile car elle se cale sur la vaste polémique provoquée par l’attaque de Tsahal et donc place son annéantissement méthodique de Kharkiv en second voire en troisième rang de la hiérarchie de l’information.
Sur l’écran noir d’une nuit blanche, qu’il est doux de se faire du cinéma d’épouvante ! Il y a même une certaine jubilation quand, au cœur d’une chambre pas forcément jaune, mais rendue mystérieuse par la profondeur d’une nuit d’encre, des flashes puissants éclaboussent l’espace réduit. En une fraction de seconde, des ombres allongées de bibelots, de meubles, de lampadaires se dessinent sur les murs. A chaque éclair le paysage se modifie donnant une sensation de chaos permanent. Être là, bien à l’abri dans son lit, préservé de ce déchaînement lumineux, fenêtres ouvertes sur un ciel tourmenté, appartient aux moments privilégiés de l’été.