Aucun doute : « j’y suis, j’y reste ! »
« J’y suis, j’y reste » c’est le leitmotiv de la déclaration de celui qui devient de moins en mois le maître des horloges politiques françaises. Il s’est campé devant la caméra…
« J’y suis, j’y reste » c’est le leitmotiv de la déclaration de celui qui devient de moins en mois le maître des horloges politiques françaises. Il s’est campé devant la caméra…
Étonnante confidence faite par un ami avec qui je parlais de l’évocation mémoire proposée par une association locale autour de la Commune libre de la gare de Créon : « je n'y viendrai pas car pour moi ce n’est pas de la culture ! » Cette affirmation me révolte profondément car elle contribue justement à marginaliser toutes les initiatives citoyennes populaires autour du patrimoine humain.
Plus que le savoir-vivre je voudrais retrouver le "savoir-rire" porté par l’amitié et l’échange. J'en ai assez que le sérieux me prenne. Il me tarde que ce "savoir-rire" qu’il revienne car je pourrais débuter la thérapie dont j’ai grand besoin.
Depuis des mois avec une assiduité seulement perturbée par les aléas estivaux, la bande de cruches sadiracaises ne se prenant pas au sérieux tente de monter une soirée destinée à récolter quelques subsides pour une action de solidarité de proximité.
Le pari gouvernemental d'une relance reposant sur l'envie des « ménages » de retrouver leurs réflexes de consommation semble avoir du plomb dans l'aile. La crise a en effet déjà altéré fortement les habitudes en la matière. Et ce n'est qu'un début... En plus l'inflation, le coût et la difficulté des déplacements, la peur de la foule ou des lieux fermés, les conséquences de la lutte contre une contamination galopante ont refroidi les ardeurs d'une population repliée sur ses angoisses.
Une série de portes qui claquent, des quiproquos, des trahisons, des omissions, des mensonges, des ronds de cuir, des ministres sinitsres ou des situations grotesques et désopilantes se produisant sur une autre scène que celle de la santé de millions de spectateurs captifs ! On écrivit donc une pièce en trois actes intitulée : " Les plumés et les masques!"
La pandémie aura généré un nombre respectable de types de crises : sanitaire, économique, sociale, culturelle, sportive... et peut-être sociétale. Cette dernière pourrait être en définitive la plus dangereuse car elle met directement en péril les valeurs démocratiques. Elle n'est pas encore perceptible mais elle ne va faire qu'amplifier au cours des prochains mois
L'atelier de théâtre crtéonnais a donné "L'expérience" de Serge Jochum au centre culturel Les Arcades... Une oeuvre certes comique mais terriblement réaliste ! Dans le fond la seule que les…
Dans le cadre de son festival de théatre Quinsac accueillait en ouverture, la troupe amateur de "pas si sage théatre" qui propose une piède de Gérard Levoyer invité d'honneur du…