La patate chaude revient chez le méchant mou
Le conclave organisé par le Béarnais pieux avec la présence des représentants de toutes les paroisses syndicales françaises n’aura jamais de fumée blanche. Rien de palpable n’en est sorti malgré…
Le conclave organisé par le Béarnais pieux avec la présence des représentants de toutes les paroisses syndicales françaises n’aura jamais de fumée blanche. Rien de palpable n’en est sorti malgré…
Dans la vie sociale, les associations tiennent un rôle irremplaçable. Elles constituent pour les plus modestes d’entre elles le seul vivier du lien social. Elles entretiennent souvent les valeurs républicaines…
Il n’y aura pas de suspension et encore moins d’annulation de la loi sur les conditions d’accessibilité aux droits à pression. La réforme des retraites qui visent donc à équilibrer…
L’âge auquel une personne peut demander à faire valoir ses droits à pension a toujours constitué un élément médiatique essentiel de la vie politique. Il n’y a pas eu une…
Lentement les structures destinées aux personnes âgées dépendantes s'enfoncent dans les déficits... On attendra les catastrophes pour réagir.
Le vrai miracle du front uni des syndicats consiste dans le fait qu’ils ont réussi à mobiliser des citoyennes et des citoyens dans une période d’après Covid où il semble que la participation aux actions collectives soit mal en point. Certes, plus que jamais la technique de la minorité agissante contre tout et n’importe quoi progresse mais le collectif a du mal à exister.
Le Conseil constitutionnel, censurant une loi, votée par le Parlement, incarnation de la souveraineté nationale, s'opposerait donc, en théorie, à la volonté générale. Sauf que celle qui est en cause n’a jamais été votée… et risque de ne jamais l’être. Le mépris mène aux pires excès. On aura le malheur de le vérifier.
Hier quelles que soient les estimations officielles ou syndicales, démonstration a été faite qu’une vraie mobilisation existait malgré un contexte socio-économique difficile. La tension ne baissera donc pas dans les prochains jours mais la course de vitesse engagée entre le gouvernement et la contestation va apparaître au grand jour.
La logique comptable, la volonté de refuser de chercher d’autres solutions de financement, l’arrière-pensée de rendre la « répartition » ruineuse et invivable conduisent à effacer totalement la dimension humaine de la réforme.