Rentrée : la vaisselle sale sous le drapeau olympique
Rentrée… le mot lui-même n’appartient pas à ceux que préfère une majorité de personnes. C’est le signe pour ce qui reste une minorité à la réalité, à un rythme oppressant…
Rentrée… le mot lui-même n’appartient pas à ceux que préfère une majorité de personnes. C’est le signe pour ce qui reste une minorité à la réalité, à un rythme oppressant…
Le racisme réel mais souterrain va se nourrir maintenant du sport. Il était cantonné à quelques excités ivres des tribunes dans les stades. Il va entrer officiellement dans le sport puisque le monde arabe sera rassemblé autour du Maroc et la « crainte » inconsciente du « grand remplacement », de la colonisation inversée est entrée dans les esprits et va se renforcer. C’est angoissant pour les amoureux du football qui ne sont plus légion tant les enjeux prennent le pas sur le jeu.
Le Mondial de football déroule son planning sans une anicroche si ce n’est celle de la contestation des réalités connues du pays qui l’accueille. Et encore, au fur et à mesure que la compétition progresse, les protestations « officielles » relatives aux morts sur les chantiers, les atteintes aux droits de l’Homme ou les déclarations du cynique Président de la Fifa paraissent s’estomper dans les esprits sur toute la planète.
Le week-end sera décisif pour l’UE que bien des observateurs ne voient pas résister à un passage de l’Italie, nation fondatrice, dans la camp des zélateurs du « Mussolinisme ». Si après les « démocrates » les bien mal nommés (20 % des suffrages en Suède), « Fratelli d’Italia » dépasse aussi ce score prévu par les sondages (25%) la situation globale va devenir instable, fragile et angoissante pour l’avenir.
Mon 14 juillet débute au même moment sur les Champs-Élysées avec sa débauche d'uniformes, d'armes menaçantes et d'engins réputés efficaces pour détruire des adversaires potentiels et leur environnement proche. Ici devant ce qui fut il y a un siècle la "mairie-école" de Mauriac il n'y a, en dehors des drapeaux tricolores qui ornent la stèle de pierre, aucun signe distinctif de célébration de la fête nationale.
« Il faut vaincre ses préjugés. Ce que je vous demande là est presque impossible, car il faut vaincre notre histoire », avait-il dit ; « et pourtant, si on ne la vainc pas, il faut savoir qu'une règle s'imposera, Mesdames et Messieurs : le nationalisme, c'est la guerre ! La guerre, ce n'est pas seulement le passé, cela peut être notre avenir."
Un coupe étonnant mais terriblement attachant sur la terrasse des sous-bois médocain. Un Anglais et une Polonaise affrontent le contexte créé par le Brexit.
Deux événements ont marqué le week-end de Pentecôte et donc mobilisé le peu de Françaises et de Français qui tentent encore de s'intéresser aux fondements de la vie politique tant décriée et tellement mal en point.
Du plus loin que je me souvienne j'ai participé aux cérémonies officielles devant un monument aux morts de la Grande Guerre (et malheureusement des suivantes) dans mon village natal de…