Une vague autoritaire et « démocraticide » se développe
Un vent mauvais souffle depuis l’arrivée à la Maison Blanche de l’agité du bocal dont on la démesure commence à peser sur la planète. Distribuant les soutiens « officiels » ou « occultes »…
Un vent mauvais souffle depuis l’arrivée à la Maison Blanche de l’agité du bocal dont on la démesure commence à peser sur la planète. Distribuant les soutiens « officiels » ou « occultes »…
La situation intérieure de la France qui se dégrade inexorablement au jour le jour explique en grande partir les mouvements d’opposition à l’accord envisagé avec le Mercosur. Comment le pouvoir…
La crise agricole semble mise sous l’éteignoir. Les tracteurs rentrés sous les hangars avec quelques centaines de kilomètres supplémentaires au compteur, se reposent avant de repartir aux champs.
Le fameux lien social serait en passe de se déliter. Tous les jours ou presque les observateurs de la vie collective stigmatise un repli sur soi, une tendance au « maison, gazon, télévision » ou une vision égoïste des comportements. Plusieurs facteurs interviennent dans cette déliquescence du bien vivre ensemble.
Je conserve de ces semaines une détermination collective forte face à un pouvoir au moins aussi « costaud » que celui qui a étouffé la contestation sur la réforme des retraites. Sa réaction n’était pas moins dure et butée. Au lieu de détruire le mouvement elle ne fit que le conforter. Il s’amplifia avec deux « forces » importantes : l’industrie et les facultés. Incontestablement ce sont deux vecteurs de la montée en puissance de cette contestation qui fut parfois violente et massive.
La seconde journée de protestation contre la réforme du régime d'attribution des pensions de retraite a atteint des records de participation que personne ne conteste. Le gouvernement reste pourtant droit dans ses bottes, ce qui n'a rien d'étonnant. Il laisse passer l'orage social avec l'espoir qu'il finira par se dissiper au fil du temps. Les signaux sont contradictoires et cet hypothèse tient de la méthode Coué.
Rien ne s’est amélioré. A petits pas, faits non dénoncés après faits non dénoncés, d’entorses aux principes républicains aux atteintes graves aux libertés individuelles, de massacres en massacres de la démocratie représentative nous allons vers des lendemains qui déchanteront. L’indifférence et la passivité vis à vis de ce dont on ne parle pas mais qui existe génèrent le pire des dangers : celui de gangrène rongeant la démocratie.
Des flots d'une compassion logique déferlent en Europe sur le sort du peuple ukrainien. L'épouvantable attaque dont il a été victime explique ce sentiment collectif de solidarité à l'égard des femmes, des enfants, des personnes âgées devant faire face aux bombardements, aux menaces de missiles, aux menaces de pénurie sur les produits essentiels. La prise de conscience d'une situation humanitaire dégradée a provoqué en quelques heures l'ouverture des frontières de l'espace Schengen à plus de 360 000 « réfugiés»
Pendant les trois dernières années de mon mandat de Maire j'ai suivi le dossier du sport au sein de l'Association des Maires de France (AMF) siégeant par exemple au sein du Conseil National du Sport et dans de multiples organisations dont celle (COGEQUIS) qui avait en charge le financement des grands équipements (stades, ARENA).