Quand le marin Barthes échoue au « port » de Créon (2)
Bernard Bordes qui repose depuis 168 ans dans le cimetière de Créon de manière tout à fait anonyme a eu une vie digne d’un film d’aventure. Dans la première partie…
Bernard Bordes qui repose depuis 168 ans dans le cimetière de Créon de manière tout à fait anonyme a eu une vie digne d’un film d’aventure. Dans la première partie…
« La guerre ! C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires. » avait lancé le Tigre. Georges Clémenceau avait pu constater entre 1914 et 1918 que les erreurs commises par les généraux avaient de conséquences souvent dramatiques. La chair à canon, quel que soit le camp dans lequel elle était utilisée dénotait souvent obstination aveugle et surtout un mépris froid de la vie humaine.
Dans mon enfance et mon adolescence j'ai eu maintes fois l'impression que les deux guerres mondiales n'avaient pas la même présence dans la mémoire du village. Autant de nombreux habitants portaient haut et fort la mémoire de celle de 14-18, autant la seconde que personne navait souhaitaité voir venir, était passée sous silence.
Les femmes et mes hommes ont toujours aimé le déguisement et les masques qui permettent encore et toujours de transformer son quotidien. Le carnaval constitue depuis de siècles un moment de la vie sociale durant lequel on échappe à toutes les règles.
Peu de gens qui paraderont sur les estrades officielles savant qu'il s'est, dès le départ, merveilleusement intitulé « Les Jours heureux par le C.N.R ». Quel beau titre dans une période sombre !
Attention la lecture de cette chronique peut provoquer des cries d'urticaire ou des éruptions allergènes aux idées toutes faites. C'est vrai que quand on ouvre un poste de télé ou…
Les cérémonies du 11 novembre sont derrière nous. La France a davantage partagé qu'elle ne l'a fait au cours du dernier demi-siècle l'armistice mettant un terme à une guerre dont…