La misère n’est pas moins pénible dans les campagnes
Selon la fameuse chanson d’Aznavour « la misère serait moins pénible au soleil ». Une affirmation qu’il est bien difficile d’admettre car justement le réchauffement de la planète fragilise les ressources alimentaires et les guerres larvées ou ouvertes accentuent la détresse des peuples. Chez nous une évolution aurait permis au chanteur dans son « invitation au voyage » d’affirmer que la misère est moins pénible en ville qu’ailleurs. Tous les constats convergent mieux vaut en effet vivre dans les zones urbaines que dans le milieu rural.