Le chihuahua, le patou, le malinois et le Saint-Bernard

Les deux références qui viennent à l’esprit quand on examinera la période c’est l’arrogance et l’aveuglement. Et le pire c’est que rien, pas même les défaites successives, pas même des résultats médiocres, pas même des menaces de crises proches n’arrivent à enrayer ce qui constitue le poison de la démocratie représentative. Sans être, loin de là, un défenseur du gouvernement actuel, il est évident que l’on ne peut que constater combien les détracteurs de son propre camp portent les stigmates du mépris macronien.

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