je n’aime pas les tigres dans la moiteur
Avec cet été humide les moustqiues se délectent... et gâchent bien des nuits ou des apéros des champs. La lutte est inagale...
Avec cet été humide les moustqiues se délectent... et gâchent bien des nuits ou des apéros des champs. La lutte est inagale...
La culture que j'ai toujours vu depuis ma fenêtre créonnaise a toujours reposé sur l'initiative associative et elle a ainsi une solidité et une durabilité supérieure à celle certes probablement plus prestigieuse, portée par des collectivités territoriales, des entreprises ou des producteurs à vocation économique. Ce sont probablement plusieurs millions de bénévoles permanents sou circonstanciels qui donnent souvent du travail grâce à leur investissement à des professionnels en quête d'organisateurs. Ils ne se prennent pas pour des dompteurs de tigre!
Désormais le « tigre » est sorti, non pas de la jungle, mais des marais mal entretenus ou des restes d'eau au fond de banals récipients de jardin. Il devient le monstre de l'été qui fait la une des quotidiens régionaux. Il pique à tout va, en rafale ou en escadrille