Le changement d’heure : une aberration biologique
Depuis le début des années 1900 et l’arrivée de l’électricité, l’humanité industrialisée a perdu entre une et deux heurs de sommeil par nuit. La lumière a en effet un impact très activateur avant le coucher : elle repousse la sensation de fatigue et empêche l’endormissement. Cette exposition inappropriée à la lumière peut potentiellement détraquer toute notre horloge biologique avec des conséquences sur les fonctions immunitaires, cognitives, le sommeil, la vigilance, la mémoire, les fonctions cardiovasculaires etc.