Confinavirus (43) : le virus du divorce
De ma fenêtre de confiné pas très malheureux, je pressens que cette semaine va paraître très longue à celles et ceux qui rêvent d'un monde d'après coronavirus identique à celui dont ils auraient été privé depuis la mi-mars. Tous les soirs, ils vont scruter la carte de France pour savoir si les feux de l'amour du Covid-19 restent bien toujours au vert ou s'il leur faudra encore attendre si le rouge est mis.