Cofinavirus (15) : poisson ou poison d’avril ?
Il devient en effet extrêmement difficile e surpasser le niveau des fabricants de fausses mauvaises ou de fausses bonnes nouvelles. Tout n'est que subterfuges, dissimulations, sensationnels de pacotille, approximations et il faut donc pêcher uniquement dans ce déluge de tromperies la moindre parcelle d'authenticité. On en est rendu au poison d'avril.