Perdre son temps c’est souvent en gagner
Je me suis goinfré de « temps ». J’en ai consommé sans aucun respect pour sa valeur. J’ai toujours pensé qu’il m’était impossible de me rassasier de donner du mien pour économiser celui des autres. J’avais la hantise de la chanson de Brel en pensant que je parviendrai à courir plus vite que la pendule (…) qui « ronronnait au salon et qui disait oui, qui disait non et qui finissait par dire je vous attends. »