A qui le tour maintenant ?
Les pays basculent les uns après les autres dans le populaismes grâce à l'indifférence générale et des alliances ou des complicités
Les pays basculent les uns après les autres dans le populaismes grâce à l'indifférence générale et des alliances ou des complicités
Les rapports au sein de la société se délitent ou se crispent voire tournent de plus en plus souvent aux conflits. Le phénomène s'installe lentement et progresse de telle manière que l'inquiétude gagne le camp des responsables de tous niveaux.
En attendant une prise de la pastille salvatrice, les peuples pris dans la seringue des mesures anti-pandémiques secouent le cocotier des certitudes.
De retour au château il a bien fallu se rendre à l'évidence : le renouvellement des potes du gouvernement n'a pas provoqué de véritable bouleversement dans les habitudes. Le chemin zigzaguerait un plus en tournant systématiquement à droite mais il conduirait aux mêmes « lieux ». Le rendez-vous paraissait bien inaccessible. Il savait en effet qu'il lui faudrait emprunter des sentiers en pente raide pour parvenir au sommet qu'il visait. En premier de cordée, il lui faudrait tenter de convaincre les autres de le suivre ce qui n'était pas gagné. Une ascension à 27 ne relevait pas en effet de la sinécure
Le monde est revenu trois décennies en arrière et rien ne permet de penser que la descente sociale aux enfers va se poursuivre. Les inégalités ont en effet atteint des…